Dépression saisonnière

 

Publié le 12 novembre, 2024 par Marion Boisselière

La dépression saisonnière comprend deux sous-types principaux : la dépression hivernale et la dépression estivale. Ce trouble intervient de façon cyclique, chaque année à la même saison.

Comme toute dépression les causes sont multifactorielles : génétique, environnementale et biologique. C’est le manque d’exposition à la lumière naturelle qui cause le trouble hivernal, tandis que le trouble estival est lié à une sensibilité aux fortes chaleurs et à l’humidité. Ces conditions climatiques génèrent des dysfonctionnements au niveau de notre cerveau, ce qui peut provoquer des dérèglements physiologiques (appétit, sommeil, etc.), des troubles de l’humeur, des états dépressifs.

Les traitements pour y faire face commencent par une bonne hygiène de vie, puis la psychothérapie et la prise de médicaments tels que les antidépresseurs. Pour pallier la dépression hivernale, la luminothérapie est également bénéfique.

Qu’est-ce que la dépression saisonnière ?

La dépression saisonnière est un état dépressif qui survient de façon récurrente chaque année pour une saison donnée. La dépression saisonnière est également connue sous la dénomination de trouble affectif saisonnier (TAS). Les deux sous-types principaux sont la dépression hivernale et la dépression estivale.

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Les différents sous-types de dépression saisonnière

La dépression hivernale est le sous-type le plus courant de dépression saisonnière. Il est aussi appelé Trouble Affectif Saisonnier d’automne-hiver (TAS hivernal). Les symptômes apparaissent à l’automne et perdurent jusqu’à la fin de l’hiver. Cet état dépressif est lié au manque d’exposition à la lumière naturelle. Cela génère notamment une augmentation de l’appétit, une prise de poids, une hypersomnie (quantité de sommeil excessive), une léthargie et un désintérêt pour les activités habituelles.

La dépression estivale est plus rare. Ce sous-type est également appelé Trouble Affectif Saisonnier de printemps-été (TAS estival). Les symptômes apparaissent au printemps et perdurent jusqu’à la fin de l’été. Cet état dépressif est en lien avec la chaleur et l’humidité. Cela génère notamment une diminution de l’appétit, une perte de poids, des insomnies (difficulté de sommeil), une grande agitation et une forte anxiété.

Il existe une variante de TAS présentant des symptômes similaires mais dans de moindre proportion : c’est le Trouble Affectif Saisonnier Subsyndromal (TASS ou S-SAD en anglais). Cet état dépressif est modéré, s’apparentant à une grosse déprime, un « blues hivernal ou estival ». La personne qui en est atteinte ressent un vrai inconfort et une gêne importante. Toutefois, les symptômes étant plus légers, elle peut continuer de fonctionner à peu près « comme d’habitude », même si ça lui coûte.

Les particularités de la dépression saisonnière

La dépression saisonnière est un trouble de l’humeur et génère des symptômes dépressifs. Les symptômes apparaissent et s’atténuent chaque année à la même période. On observe certains changements dans le comportement des personnes atteintes de ce type de trouble. La dépression saisonnière a des incidences sur l’énergie, l’humeur, le sommeil, l’appétit, l’anxiété, et sur le fait d’être en sur-régime (agitation) ou en sous-régime (ralentissement) dans sa vie quotidienne. Par conséquent, leurs ressentis et leur bien-être émotionnel s’en trouvent déséquilibrés.

Comme son nom l’indique, les causes de la dépression saisonnière sont en lien avec la météo de la saison. Il y a soit une sensibilité au manque d’exposition à la lumière, soit une sensibilité à la chaleur et à l’humidité. Toutefois, cette maladie est sans doute une combinaison de plusieurs facteurs : un déséquilibre biologique au niveau du cerveau induisant une sécrétion d’hormones altérée, une vulnérabilité génétique, des circonstances environnementales difficiles, et enfin des antécédents de dépression.

Dépression saisonnière, ça concerne qui ?

Il existe pour l’instant peu d’études sur le sujet, mais il y a déjà quelques observations notables. Voici les personnes les plus sensibles et susceptibles de développer une dépression saisonnière :

  • Les femmes : du fait de leur fluctuations hormonales.
  • Les jeunes : les personnes âgées sont vraiment moins concernées par ces troubles ce qui est sans doute en lien avec les sécrétions hormonales.
  • Les personnes ayant fait une dépression : la personne ayant un terrain « favorable » à la dépression a un risque majoré de « rechute ».
  • Les antécédents familiaux : s’il y a une vulnérabilité génétique à la dépression dans la famille, les risques sont plus importants.
  • Les habitants des pays nordiques : à cause du manque de luminosité sur une longue durée, car leurs hivers sont particulièrement longs et froids (pour le TAS hivernal).
  • Les habitants de pays ayant un climat tropical ou subtropical : à cause de la chaleur et de l’humidité élevées (pour le TAS estival).

Symptômes de la dépression hivernale

Comme chaque dépression, le TAS hivernal a des impacts physiques et psychologiques sur l’individu qui en est atteint. Selon l’intensité de l’état dépressif, les symptômes varient d’une personne à l’autre. Sachez que plus un état dépressif est pris en charge rapidement, plus vite il guérit. En cas de doute, demandez l’avis de votre médecin.

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Quels sont les symptômes physiques du TAS hivernal ?

Voici les symptômes physiques le plus souvent répertoriés dans le cas de dépression hivernale :

  • Une fatigue persistante : un grand manque d’énergie, un état de fatigue constant malgré les temps de repos.

  • Un appétit augmenté : une appétence prononcée pour les aliments riches et caloriques, de nombreuses fringales (essentiellement aliments sucrés), et de ce fait une prise de poids.

  • Une hypersomnie : un besoin de dormir insatiable, des difficultés à se lever le matin.

  • Une léthargie : une sensation de fonctionner en « sous-régime », un manque de motivation à faire quoi que ce soit, des difficultés à mener les tâches du quotidien.

Quels sont les symptômes psychologiques du TAS hivernal ?

La dépression hivernale génère des symptômes psychiques et émotionnels, les plus fréquents sont les suivants :

  • Une tristesse persistante : une sensation de vide émotionnel prononcé, un sentiment de désespoir, une tendance à l’irritabilité.

  • Une perte d’intérêt et de plaisir pour les activités habituelles : les loisirs, les relations sociales.

  • Une tendance à s’isoler : un repli sur soi et évitement des interactions sociales.

  • Une anxiété amplifiée : des tensions nerveuses, stress et ruminations parfois obsessionnelles.

  • Une baisse de la libido voire une absence.

  • Des difficultés cognitives : des troubles de la mémoire, de la concentration, des difficultés à prendre des décisions.

  • Un sentiment de désespoir : du pessimisme, de la culpabilité, un sentiment d’être inutile et dans une impasse.

  • Des idées noires : des pensées suicidaires peuvent surgir dans certains cas.

Manque de lumière : une des causes de la dépression hivernale

La lumière joue un rôle essentiel dans la régulation de multiples processus biologiques dans le corps humain. Elle agit sur le cerveau, et de ce fait, elle peut avoir une influence considérable sur l’humeur et le comportement. Le manque de lumière peut donc induire un état dépressif.

Réduire l’exposition à la lumière naturelle a des incidences physiologiques. En effet, il y a des répercussions sur les rythmes circadiens (l’horloge interne du corps humain régissant l’appétit, le sommeil), et sur certains neurotransmetteurs du cerveau (diminution de sécrétion d’hormones comme la sérotonine).

Les différents effets de la lumière naturelle sur le cerveau

Le manque de lumière naturelle inflige différentes perturbations sur la biochimie de l’organisme, telles que : diminution de l’énergie, difficultés de sommeil, altération de l’humeur, dérèglements de l’appétit, etc. Pour les personnes vulnérables sur le plan génétique et fragiles sur le plan psychologique : la réduction de l’exposition à la lumière peut conduire à une dépression saisonnière.

Voici les bienfaits de la lumière naturelle sur la biologie interne :

  • Nos rythmes circadiens sont en symbiose avec notre environnement climatique. En effet, notre horloge biologique interne se synchronise sur la lumière du jour. Donc la lumière agit sur différentes fonctions telles que le sommeil, l’appétit, la température corporelle, la libération de certaines hormones, etc.

  • La lumière du jour permet la sécrétion de la mélatonine, et cette hormone joue un rôle important dans la régulation du sommeil.

  • Par ailleurs, la lumière a une influence sur la production et le métabolisme de la sérotonine. Cette hormone, dite « hormone du bonheur », joue un rôle crucial au niveau de la régulation de l’humeur.

  • De plus, elle a un impact sur la gestion des émotions. En effet, la lumière a une incidence sur certaines activités cérébrales chargées de réguler les émotions et les humeurs.

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Symptômes de la dépression saisonnière estivale

Comme chaque dépression, le TAS estival a des répercussions sur le plan physique et psychologique de la personne qui en est atteinte. Selon l’intensité de l’état dépressif, les symptômes peuvent varier d’une individu à l’autre.

Quels sont les symptômes physiques du TAS estival ?

Dans le cas de dépression estivale, on observe les symptômes physiques suivants:

  • De l’insomnie : difficulté à s’endormir, réveils nocturnes, mauvaise qualité de sommeil.

  • Une diminution de l’appétit, perte de poids.

  • Une hypersudation : excès de sueurs, bouffées de chaleur.

  • Un manque d’énergie : une sensation de fatigue constante.

Quels sont les symptômes psychologiques du TAS estival ?

La dépression saisonnière estivale génère un ensemble de symptômes psychiques dont les plus fréquents sont les suivants :

  • Une agitation prononcée : sensation d’être en « sur-régime », nervosité, irritabilité, incapacité de se détendre.

  • Une anxiété décuplée  : tensions nerveuses, voire des crises de panique.

  • Une impulsivité : faible maîtrise de soi, crise de colère.

  • Des difficultés cognitives : troubles de la concentration, difficultés à prendre des décisions.

  • Une tristesse persistante : sentiment d’être inutile, désespoir, culpabilité.

  • Une perte d’intérêt et de plaisir pour les activités habituelles

Les causes du TAS estival

Les causes de la dépression saisonnière estivale peuvent être dues à plusieurs facteurs : biologique, environnemental, génétique.

D’un point de vue biologique, les climats très chauds et très humides peuvent générer une sécrétion de mélatonine en trop grande quantité, ce qui a des répercussions sur l’humeur.

La mélatonine est une hormone fabriquée par l’organisme grâce notamment au soleil. Elle protège le cerveau grâce à sa vertu antioxydante. La sérotonine, hormone jouant un rôle principal dans la régulation de l’humeur, est le « précurseur direct » à partir duquel l’organisme synthétise la mélatonine. Ce lien entre ces deux hormones implique que lorsque le cerveau sécrète de la mélatonine en excès, cela diminue la production de la sérotonine. Ce déficit en sérotonine augmente les troubles de l’humeur, génère un stress dit « stress oxydatif », et peut dans de rares cas conduire à la dépression.

Ce « stress oxydatif » favorise une grande agitation, la nervosité, l’irritabilité, l’impulsivité, les colères, l’agressivité, etc. Ce stress peut être d’autant plus exacerbé si la personne ne nourrit peu, est en surexposition au soleil, et qu’elle consomme des substances excitantes comme le tabac, l’alcool, etc.

Par ailleurs, cette fonction de thermorégulation est coûteuse pour l’organisme. Si notre corps consomme beaucoup d’énergie pour réguler sa température, il se fatigue et dispose de moins d’énergie pour d’autres fonctions. C’est cela qui provoque la fatigue, l’insomnie, les troubles cognitifs, etc.

Selon des études, il y a une prédisposition génétique. On constate que 65 % des patients atteints de ce trouble ont des antécédents familiaux de TAS estival.

Les facteurs environnementaux stressants favorisent le développement du trouble saisonnier estival : vacances, voyages, reprise ou absence de travail, problèmes personnels, etc.

Dépression saisonnière : les traitements

Pour traiter cette maladie, on préconise de maintenir une bonne hygiène de vie, un accompagnement en thérapie et une prescription médicamenteuse en fonction de la gravité des symptômes et surtout selon l’avis de votre médecin. Pour le trouble affectif saisonnier hivernal, il existe aussi la solution de faire des séances de luminothérapie quotidiennement.

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Une bonne hygiène de vie

Il est important d’avoir une bonne hygiène de vie afin de limiter les symptômes de la dépression, cela permet d’améliorer l’humeur et de garder un équilibre psycho-émotionnel stable. Voici les points clés d’une bonne hygiène de vie :

  • Adopter une alimentation variée et équilibrée, éviter les grignotages. Limiter les glucides et aliments riches en période hivernale. Préférer des aliments antioxydant en été, tels que les fruits et légumes, poissons et oméga-3, légumineuses, noix et graines, thé vert.

  • Avoir une activité physique régulière. Cela permet à l’organisme de produire des endorphines pour favoriser le sommeil, et de la dopamine pour favoriser une meilleure humeur.

  • Créer un cadre favorable pour le sommeil : choisir un horaire régulier, mettre en place un rituel apaisant pour favoriser l’endormissement, éviter de se recoucher en journée.

  • Mettre en place des rituels quotidiens : cela apporte une sécurité émotionnelle et permet « d’automatiser » des tâches demandant un gros effort en cas de dépression hivernale.

  • Éviter l’isolement : soutien de proches, maintien des liens sociaux.

  • Faire des activités relaxantes, de la méditation, etc.

Une psychothérapie

Comme pour toute dépression, une psychothérapie peut vous accompagner pour traverser une période difficile. Dans ces cas-là, la TCC (thérapie comportementale et cognitive) est recommandée.

Cette thérapie permet au patient d’identifier ses schémas de pensée négatifs, de trouver ensemble des stratégies pour les modifier et améliorer le quotidien. Chaque thérapeute a ses méthodes : temps de paroles, exercices, techniques de relaxation, etc.

La thérapie stimule le patient, elle limite la possibilité de s’enfoncer dans une dépression sévère, et elle limite les probabilités de récidive. Le thérapeute travaillera aussi à préserver l’estime de soi et à développer un état d’esprit « plus positif ». Ce travail thérapeutique aura donc des incidences bénéfiques sur vos comportements au quotidien.

Dépression saisonnière : médication

Il est important de consulter un professionnel de la santé pour avoir le traitement qui vous convient. Selon l’intensité et la gravité des symptômes, le médecin ou le psychiatre évalue la prescription de médicaments la mieux adaptée.

Il est fort probable qu’il vous soit prescrit des antidépresseurs pour pallier le manque de sécrétion de sérotonine, ce qui pourra ainsi permettre la régulation de l’humeur.

Votre médecin peut également vous prescrire de la vitamine D dans le cas de dépression hivernale.

La luminothérapie pour lutter contre la dépression hivernale­

La luminothérapie peut constituer une aide à la régulation des rythmes circadiens (en charge de l’appétit et du sommeil) et apporter un équilibre au niveau des neurotransmetteurs du cerveau.

La luminothérapie est une lumière vive et artificielle simulant la lumière du jour. A raison d’une séance par jour, la personne atteinte de dépression hivernale devrait voir ses symptômes diminués notablement.

La dépression estivale concerne 1 % de la population française, tandis que la dépression hivernale touche environ 10 % des Français. Pour être diagnostiqué, il faut nécessairement avoir vécu ce syndrome dépressif sur deux années consécutives. Si vous avez des doutes, demandez l’avis de votre médecin. Il est important de se faire aider afin de limiter l’aggravation des symptômes et des rechutes. Plus un individu a des épisodes dépressifs, plus il sera sujet à développer d’autres troubles dépressifs en plus du saisonnier.

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FAQs

Existe-il des antidépresseurs naturels pour lutter contre la dépression saisonnière?

Il existe des antidépresseurs naturels pour amoindrir les symptômes dépressifs : le Millepertuis pour atténuer les humeurs dépressives, la Griffonia pour booster la sécrétion de sérotonine, la Rodhiole pour diminuer l’anxiété, la Passiflore, etc. Faites attention aux interactions médicamenteuses si vous suivez un traitement, demandez conseil à votre pharmacien ou votre médecin.

Comment se relaxer pour amoindrir les symptômes dépressifs ?

Vous pouvez pratiquer de longues marches, c’est un excellent moyen pour diminuer le stress et les ruminations. Vous pouvez aussi pratiquer la course, ce qui permettra la sécrétion de dopamine, de noradrénaline et d’endorphine. L’activité physique améliore l’humeur et la qualité de sommeil. Vous pouvez aussi pratiquer le yoga, le tai chi, la méditation, etc.

Est-ce que la dépression saisonnière peut se confondre avec un autre trouble ?

Les symptômes de l’hypersensibilité aux saisons peuvent se retrouver dans d’autres troubles, c’est pourquoi il faut demander l’avis d’un professionnel de la santé pour poser un diagnostic. La dépression saisonnière peut se confondre avec une dépression classique, un trouble bipolaire, un trouble de l’anxiété généralisée, le trouble du stress post-traumatique (SPT), le trouble du spectre de l’autisme (TSA), un syndrome de fatigue chronique (SFC).

Quelle alimentation est recommandée en cas de dépression hivernale ?

Les nutriments bénéfiques en cas de TAS hivernal sont : des aliments riches en oméga-3 pour réguler l’humeur (poissons gras, noix), des aliments riche en tryptophane pour la production de sérotonine (volailles, œuf, tofu, poissons, graines, fromages, lait), des aliments riches en vitamine D pour compenser le manque de soleil (poissons gras, œufs).

Est-ce que le Trouble Affectif Saisonnier Subsyndromal nécessite un traitement ?

C’est une forme amoindrie de la dépression saisonnière, il peut mettre la personne qui en est atteinte dans un état de déprime, d’inconfort, de gêne. Il nécessite d’en tenir compte et d’aborder des solutions de traitement. Votre médecin pourra vous conseiller en fonction de l’intensité de vos symptômes et comment vous les vivez.

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