J’AI ARRÊTÉ DE BOIRE : LES BIENFAITS JOUR APRÈS JOUR

Publié le 6 août, 2024 par Marion Boisselière


Pourquoi avez-vous décidé d’arrêter de boire ?

J’ai décidé d’arrêter de boire pour mon travailLors d’une réunion, étant ingénieur, j’ai entendu dire à mon propos que je puais l’alcool et qu’il faudrait à l’avenir de plus me confier de missions.

 

Je suis tombé de ma chaise car je pensais que ça ne se voyait pas. Et j’en ai parlé à ma femme qui a trouvé les Cabinets Oser le Changement. Mais attention, je n’y croyais pas. Et justement ce fut tout l’objet de la première séance : je voulais et je ne voulais pas. Résultat j’étais bloqué et la première séance a consisté à faire dialoguer ces deux parties de moi-même.

Aujourd’hui, je suis monté en grade et je suis tellement plus proche de ma famille. Parce qu’avec l’alcool, la communication était très brouillée. Aujourd’hui grâce aux bienfaits et bénéfices de l’arrêt de l’alcool, je suis en symbiose avec les membres de la famille.

Jour 1.

Quelque chose en moi s’est libéré et j’ai plus d’espace à l’intérieur.

Jour 2.

J’appréhendais. En effet, au travail, il y eut un pot de départ mais tout va bien, je n’ai pas pris de vin comme je le faisais auparavant, j’ai pris un Perrier.

Jour 3.

J’ai parfois le vertige de la liberté tellement je suis heureux.

Jour 4.

C’est samedi, ce soir avec ma femme, nous sortons chez des amis alors forcément dès le matin, j’y pense. Retour de soirée, j’ai bu du Coca. Tout va bien.

Jour 5.

Je me sens plus proche de mes enfants ; on passe de très bons moments. Je suis davantage présent.

Jour 6.

Je me pose des questions sur le programme que j’ai effectué aux cabinets . Comme on est en état modifié de conscience tout le temps des séances avec le praticien en Activation du Changement, je ne me souviens plus bien. Je me souviens avoir travaillé sur le choc que j’avais vécu dans mon adolescence, qui serait l’origine inconsciente de l’addiction à la boisson.

Au fond, je peux dire qu’il y a deux étapes dans le programme : l’une consciente sur l’envie de boire – les images et les petites phrases que l’on se dit à ce moment-là – et sur l’origine de la blessure et puis l’autre partie du travail, beaucoup plus inconsciente comme le dégoût, qui se fait à votre insu, de façon automatique.

Jour 7.

Je redresse la tête au travail.

Jour 8.

J’ai dit à mes collègues que j’ai arrêté de boire. Ils ont souri, ils étaient contents pour moi. Puis on a en parlé, ensemble. Ils écoutaient et je sentais qu’ils étaient très attentifs.

Un collègue a dit que l’alcool, c’était chronique, comme une maladie. Vous voyez, ça, c’est une croyance négative qui fait beaucoup de torts.

Jour 9.

Le midi au travail, mes collègues m’ont encore posé des questions sur les raisons profondes.

Conseillère

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Vous savez, pour moi, et je crois que c’est valable aussi pour toutes les autres personnes qui boiventquelque chose de très grave s’est passée.

On ne devient pas alcoolique comme ça, juste pour le plaisir. Il y a forcément un événement ou plusieurs qui ont désorganisé votre vie. Pour moi, ce fut très jeune.

Jour 10.

Vendredi, j’ai encore raconté les séances avec l’hypnose, que dans les séances, on fait plus que raconter sa vie, ce n’est pas une conversation. On est guidé pour aller dans les profondeurs de la mémoire.

Jour 11.

En famille.

Jour 12.

Je tiens le coup, en fait je n’ai plus envie de boire.

Jour 13.

Au travail, je suis plus vivant. Je rigole avec mes collègues.

Jour 14.

Mes relations avec ma femme sont plus intimes. Je me dis que j’ai eu beaucoup de chances car elle m’a jamais forcé à arrêter. Bien sûr, elle m’encourageait.

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Bon, c’est vrai parfois elle était en colère ! Aujourd’hui, je vois comme elle est heureuse, les enfants aussi. En fait, ils souffraient aussi. Et maintenant, on est heureux. C’est au niveau de la communication, je suis plus moi-même plus présent.

Jour 15.

Je prends la décision de faire du sport, j’en n’ai jamais fait, enfin si un peu de basket. Le samedi matin ou le dimanche matin, je fais de l’athlétisme avec mes enfants, en pleine nature. C’est un partage. Avant je pouvais difficilement le faire.

Jour 16.

J’ai dit que j’avais arrêté pour le travail mais au fond c’est avec mes enfants et ma femme que le changement est le plus heureux.

Jour 17.

Je m’aperçois que je n’ai pas besoin de l’alcool pour gérer mon stress, c’était une illusion. J’avais trouvé cette compensation, adolescent et aujourd’hui je n’en ai plus besoin.

J’ai réussi et tout en douceur à traverser une blessure très profonde. Voilà le résultat de mon programme chez Oser le Changement.

Jour 18.

Je continue le sport.

Jour 19.

Repas avec des amis, j’ai bu de l’eau pétillante.

Jour 20.

J’ai mangé au restaurant

Jour 21.

Je vais bien. Au travail, plus personne ne me regarde de travers.

Jour 22.

Encore un pot au travail, et j’ai bu un Coca. C’est naturel. L’alcool, c’est fini.

Jour 23.

Il est question de me confier plus de responsabilités. Dans ma hiérarchie, tout le monde a appris que j’avais arrêté de boire. J’apprends que j’ai un rdv avec mon supérieur pour parler avenir et missions.

L’avenir se dégage. C’est ça le changement, en fait, on s’aperçoit ou plutôt je m’aperçois que j’avais toutes les ressources, elles étaient juste passées au second plan.

Et l’alcool était devenu un comportement dont aujourd’hui, je n’ai plus besoin.

Jour 24.

Quand je pense que j’y croyais pas. Je remercie l’Oser le changement de m’avoir démontré le contraire. C’est parce que je buvais depuis 25 ans donc je ne voyais pas bien comment on pouvait m’aider.

Je faisais le sceptique et je disais : tiens, tiens, on va les voir à l’œuvre ! Pour un peu, j’aurais aimé les mettre en échec ! Vous me dites que je vais m’en sortir ! Allez, voyons un peu de sérieux ! Je fus bien surpris !

Dès la quatrième séance, j’ai arrêtéc’était fini et je sens bien que c’est définitif.

Au début, j’étais pas trop d’accord pour l’arrêt total mais Marion Boisselière m’a convaincu que mon cerveau apprendrait de nouvelles routes pour me donner plaisir et joie. 

Il fallait juste abandonner l’ancien comportement qui était néfaste pour moi et qui me détruisait à petit feu même si je suis robuste.

Jour 25.

J’ai le visage moins fatigué quand je me lève et je suis quand même plus frais.

Jour 26.

Samedi, la joie du partage avec mes enfants dans la pratique du sport.

Jour 27.

Dimanche. Les enfants étaient chez leurs copains ; avec ma femme on a fait une immense promenade et parlé projets, ce que l’on ne faisait pas auparavant. On était bien ensemble. Je suis un homme heureux.

Jour 28.

Rdv de travail. Une nouvelle mission m’attend. Immense satisfaction car on me fait confiance.

Jour 29.

Je bois ma nouvelle vie, je la savoure.

Jour 30.

Je vois le monde d’un autre œil.

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