Addiction

Publié le 19 novembre, 2024 par Marion Boisselière.

L’addiction est un phénomène complexe et multifactoriel, qui se caractérise par une dépendance physique ou psychologique à une substance ou à une activité.

L’addiction peut avoir des conséquences néfastes sur la santé, le bien-être, les relations sociales et professionnelles. Elle peut également se révéler problématique, dans certains cas, vis-à-vis du respect de la loi.

Il existe différents types d’addictions, comme l’addiction aux drogues, à l’alcool, au tabac, au jeu, à Internet, au sexe, au sport, au travail, etc. Chaque addiction a ses propres causes, symptômes, traitements et préventions. Ce guide a pour objectif de fournir une information pertinente sur les différentes formes d’addiction, leurs mécanismes, leurs risques, ainsi que les solutions pour en sortir ou les éviter.

Ce guide a pour vocation d’aider à mieux comprendre et à mieux gérer l’addiction et trouver des éléments de soutien pour les personnes qui seraient concernées.

C’est quoi une addiction ?

L’addiction est un trouble du comportement qui se manifeste par une envie irrépressible et répétée de consommer une substance ou de pratiquer une activité, malgré les conséquences négatives que cela entraîne.

Les comportements addictifs peuvent impacter la santé, la vie sociale, professionnelle et familiale. L’addiction implique une perte de contrôle. Elle est influencée par des facteurs biologiques, psychologiques, sociaux et environnementaux. L’addiction peut affecter le fonctionnement du cerveau, notamment les circuits de la récompense et du plaisir. La substance ou l’activité addictive surstimule la libération de dopamine, ce qui va conduire à une adaptation neuronale et diminuer la capacité de l’individu à trouver de la satisfaction dans d’autres activités. La dépendance sera ainsi renforcée.

L’addiction peut être considérée comme une maladie chronique qui nécessite un soutien pluridisciplinaire, avec bien souvent un suivi médical et un accompagnement psychologique, et la mise en place de dispositifs visant à aider la personne à rétablir un équilibre.

Les différents types d’addictions

Les addictions se manifestent sous de multiples formes. On peut les classer en deux catégories : les addictions à des substances et les addictions comportementales. Les premières concernent ce qui touche à la consommation de substances psychoactives. Cela peut être l’alcool, les médicaments, le tabac, les drogues illicites, le sucre, le café. Les secondes impliquent des comportements compulsifs. Ces addictions sont relatives à la nourriture, au sport, aux écrans, aux jeux d’argent, aux réseaux sociaux, ou encore au shopping.

Les addictions se manifestent sous de multiples formes.

On peut les classer en deux catégories :

les addictions à des substances et les addictions comportementales.

Les premières concernent ce qui touche à la consommation de substances psychoactives. Cela peut être l’alcool, les médicaments, le tabac, les drogues illicites, le sucre, le café.

Les secondes impliquent des comportements compulsifs. Ces addictions sont relatives à la nourriture, au sport, aux écrans, aux jeux d’argent, aux réseaux sociaux, ou encore au shopping.

Addiction au sport

L’addiction au sport, souvent désignée sous le terme de bigorexie, se manifeste par une pratique excessive et compulsive de l’activité sportive, au point où celle-ci prend le pas sur les autres aspects de la vie d’un individu.

L’activité physique est un engagement sain qui apporte de nombreux bienfaits, tant au niveau corporel que mental. Lorsque cette activité prend un caractère obsessionnel, poussant la personne à effectuer des entraînements intensifs malgré de potentielles blessures ou contre-indications, ou épuisement, elle perd son aspect bénéfique. Les causes de cette addiction peuvent être multiples. Elle peut découler de la recherche d’une image corporelle idéalisée, la quête de sensations fortes, ou le désir de contrôler son poids de manière excessive. Psychologiquement, l’addiction au sport est souvent liée à une faible estime de soi et à la dépendance à l’endorphine, une hormone libérée pendant l’exercice physique procurant une sensation de bien-être. Socialement, cette addiction peut entraîner un isolement, car les relations et les engagements personnels peuvent être négligés au profit de l’entraînement.

Le traitement de cette addiction nécessite une approche holistique, incluant souvent un accompagnement pour aborder les origines inconscientes de cette dépendance, ainsi que des propositions pour aider à activer un changement dans les comportements.

Tout cela vise à établir un équilibre sain entre activité physique, repos et autres aspects de la vie.

Addiction à la nourriture

Les troubles compulsifs alimentaires (TCA) sont un type de dépendance comportementale caractérisé par une consommation excessive et incontrôlable d’aliments.

Ce comportement intervient souvent en réponse à des émotions négatives telles que le stress, l’ennui, ou la tristesse.

Un traumatisme peut également se trouver à l’origine profonde et inconsciente de cette addiction.

Contrairement à d’autres formes d’addiction, où la dépendance est liée à une substance spécifique, c’est l’acte de manger qui procure une sensation de réconfort. Les individus atteints de cette dépendance peuvent consommer de grandes quantités de nourriture en très peu de temps, même en l’absence de faim, menant à des sentiments de culpabilité, de honte, et à des problèmes de santé graves tels que l’obésité, le diabète de type 2, et les maladies cardiovasculaires. La gestion de cette addiction est complexe, car elle implique de modifier les habitudes alimentaires et de traiter les problèmes émotionnels sous-jacents. Elle peut nécessiter l’aide de professionnels de la santé, incluant des psychologues, des nutritionnistes, et des médecins, pour développer des stratégies visant à rétablir une relation saine avec la nourriture, et à gérer les déclencheurs émotionnels de la suralimentation.

Addiction comportementale

L’addiction comportementale désigne un trouble caractérisé par un comportement non contrôlé et répétitif, qui procure plaisir ou soulagement à court terme, malgré les conséquences négatives à long terme pour la personne concernée.

Contrairement aux addictions à des substances, où la dépendance chimique joue un rôle central, les addictions comportementales impliquent des activités telles que les jeux d’argent, les achats compulsifs, l’usage excessif d’Internet, y compris les jeux en ligne et les réseaux sociaux, l’usage d’écrans en général, l’exercice physique extrême, l’alimentation compulsive, des besoins sexuels à outrance.

Ces comportements deviennent problématiques lorsque l’individu perd le contrôle sur ces pratiques.

Les comportements peuvent impacter négativement la santé mentale, les relations sociales, les performances professionnelles, et la vie quotidienne de la personne concernée. L’addiction comportement est un moyen utilisé de manière inconsciente pour faire face à un traumatisme ou à des situations stressantes et émotions négatives, avant de devenir une source de détresse en soi. Le traitement de ces addictions nécessite souvent une prise en charge pour permettre au sujet de retrouver un équilibre.

Addiction aux médicaments

La dépendance médicamenteuse est un trouble caractérisé par l’utilisation abusive de médicaments sur ordonnance ou en vente libre. Cette forme d’addiction peut concerner divers types de médicaments, y compris les opioïdes, les sédatifs, les tranquillisants, et les stimulants, utilisés initialement pour traiter des douleurs, des troubles de l’anxiété, ou des troubles du sommeil.

La consommation de ces substances commence généralement dans le cadre d’une prescription bien précise, pour traiter une souffrance spécifique. Le sujet développe une tolérance au traitement, et augmente progressivement les doses pour obtenir le même effet apaisant.

La personne peut potentiellement continuer le traitement au-delà des prescriptions médicales et le médicament est ensuite consommé même si la personne n’en a plus besoin.

Pour finir, elle souffre de syndromes de sevrage si elle diminue ou cesse sa consommation. L’addiction aux médicaments peut avoir des conséquences graves sur la santé physique et mentale, entraînant des risques de surdosage, de dépression, et de détérioration des relations sociales et professionnelles.

Le traitement de cette addiction nécessite souvent une prise en charge au cours de laquelle une désintoxication sera envisagée, ainsi qu’un soutien vis-à-vis des causes inhérentes à l’abus de médicaments.

La prévention joue également un rôle clé, avec la nécessité pour les professionnels de santé, de surveiller étroitement les prescriptions et d’offrir des conseils sur les risques liés à l’usage prolongé de médicaments.

Le traitement de cette addiction nécessite souvent une prise en charge au cours de laquelle une désintoxication sera envisagée, ainsi qu’un soutien vis-à-vis des causes inhérentes à l’abus de médicaments. La prévention joue également un rôle clé, avec la nécessité pour les professionnels de santé, de surveiller étroitement les prescriptions et d’offrir des conseils sur les risques liés à l’usage prolongé de médicaments.

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Addiction affective

L’addiction affective est un trouble de la personnalité qui se caractérise par un besoin excessif et pathologique de l’amour ou de l’attention d’autrui. Les personnes qui en souffrent ont une faible estime de soi, une peur de l’abandon, une difficulté à s’affirmer et à être autonomes. Elles sont souvent dépendantes d’un partenaire, d’un parent, d’un ami ou d’une idole, dont elles attendent une validation constante. Elles ont tendance à s’oublier, à se sacrifier, à se soumettre, à tolérer l’intolérable. Elles peuvent accepter des situations et des comportements qui leur causent de la souffrance, recevoir des paroles irrespectueuses et le dénigrement, cela peut même aller jusqu’à ne pas réagir face à des violences psychologiques et physiques. Elles auraient tendance à être jalouses, possessives, anxieuses ou dépressives. L’addiction affective relève souvent d’un trouble de l’attachement, lié à la petite enfance.

Le trouble est réactivé par un traumatisme, une rupture, une situation conflictuelle… Il est important de savoir qu’il est possible de se défaire de cette dépendance, comme de toute autre addiction. Un accompagnement adapté permettra de découvrir l’origine inconsciente du problème et engager les solutions pour apporter un changement. Le but est de renforcer l’estime de soi, de développer des relations saines et équilibrées, de gérer ses émotions, de se libérer de ses peurs et de ses croyances limitantes.

Addiction sectaire

L’addiction sectaire désigne un phénomène de dépendance psychologique et émotionnelle à une secte ou à un mouvement sectaire. Cette forme d’addiction est caractérisée par une emprise mentale forte, où l’individu se trouve captif d’une idéologie ou d’un leader, souvent au détriment de son bien-être personnel et de ses relations extérieures.

Les sectes exploitent diverses techniques de manipulation psychologique, comme le contrôle de l’information, la culpabilisation, l’isolement social, et la promesse d’un idéal ou d’une récompense spirituelle, pour renforcer la dépendance de leurs membres. Les victimes de l’addiction sectaire peuvent éprouver de grandes difficultés à se désengager de ces groupes, en raison de la peur des représailles, de la perte de leur réseau social au sein de la secte, ou de la déconstruction de leur identité personnelle.

La prise de conscience et la réhabilitation des individus passent souvent par un accompagnement psychologique spécialisé, visant à restaurer l’autonomie de la pensée et à reconstruire une vie en dehors de l’emprise sectaire.

Autres addictions

Il existe de nombreuses autres addictions qui portent tout autant préjudice à la santé physique et mentale, voire financière.

Parmi celles-ci, on note la potomanie, qui consiste à boire des quantités d’eau que le corps n’est pas en mesure de tolérer, l’addiction au shopping, qui est souvent causée par un manque d’estime de soi et une importante anxiété.
Certains produits alimentaires contiennent des substances susceptibles de favoriser le système de récompense au niveau du cerveau, ce qui peut conduire à une dépendance, en fonction de la sensibilité de la personne.

Il peut s’agir du café, du chocolat, du Coca, du sucre, le fromage.

Les symptômes d’une addiction

L’addiction se manifeste par divers symptômes qui peuvent alerter et inviter à une prise de conscience.

Ainsi, la personne touchée par l’addiction manifeste une perte de contrôle sur la quantité et la fréquence de consommation de la substance addictive. La perte de contrôle peut également concerner un comportement qui sera adopté à outrance. Consommer cette substance ou s’adonner à l’activité devient un besoin irrépressible. La personne peut subir des troubles physiques ou psychiques en l’absence de ladite substance ou de l’activité :

de l’anxiété, une altération de l’humeur, une irritabilité, une perte de motivation, une agitation ou au contraire un abattement; des troubles du sommeil, une transpiration abondante, des tremblements, maux de tête, voire des hallucinations. Un des cas les plus sévères, lorsqu’une personne est en manque d’alcool, par exemple. Il est vital de s’orienter vers un service d’urgence lorsque des troubles graves se manifestent.

Comment agit-il?

Les causes principales d’une addiction

Origine profonde inconsciente, se développant à partir d’éléments déclencheurs. Des troubles tels que la dépression, l’anxiété, et le stress post-traumatique peuvent inciter à la recherche de substances ou de comportements comme moyen d’échappatoire ou de soulagement temporaire. L’addiction peut être favorisée par les contextes environnementaux, la pression sociale, la disponibilité des substances ou des activités addictives, et les expériences de vie difficiles, comme le trauma ou l’isolement, contribuent à l’émergence et au maintien de l’addiction.

Les risques liés à une addiction

L’addiction expose à une multitude de risques, tant sur le plan physique que psychologique, ainsi qu’au niveau des relations sociales et professionnelles.

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Physiquement, la dépendance à des substances telles que : l’alcool, les drogues illicites ou les médicaments peut occasionner des dommages.

Parfois irréversibles, au niveau des organes vitaux, des overdoses potentiellement mortelles et une augmentation du risque de maladies chroniques comme le cancer, les maladies cardiovasculaires et les troubles hépatiques. Sur le plan psychologique, l’addiction peut exacerber ou déclencher des troubles mentaux, tels que la dépression, l’anxiété, et les troubles de la personnalité, réduisant significativement la qualité de vie. Socialement et professionnellement, les comportements addictifs peuvent mener à l’isolement, la détérioration des relations avec la famille et les amis, la perte d’emploi, et des difficultés financières.

Comment se débarrasser d’une addiction ?

L’addiction crée donc un cercle vicieux de détérioration physique, psychologique et sociale.

Il est alors crucial d’intervenir le plus tôt possible en mettant en place le soutien nécessaire pour retrouver un équilibre. L’autodiscipline est un bon point de départ, et peut suffire à se libérer d’addictions qui ne provoquent pas de dépendances physiques intenses. La volonté peut par exemple suffire pour renoncer au soda, au chocolat, au café, au sucre.

Toutefois, certaines substances psychoactives génèrent d’importants symptômes liés au manque. De même, un profond mal-être est souvent à l’origine des addictions comportementales. Ainsi, une prise en charge pluridisciplinaire sera nécessaire pour gérer les troubles physiques et traiter l’origine de l’addiction.

Un suivi médical est vivement recommandé lorsque l’on souhaite se débarrasser d’une addiction.

Un suivi psychologique est également conseillé. Le recours à des méthodes alternatives, proposant de l’hypnose ou autres techniques, complète le parcours de manière pertinente. Des alternatives comme la sophrologie, le yoga, la méditation sont très adaptées pour se reconnecter avec son corps, apaiser le mental et accélérer le processus de libération des toxines.

Quelles sont les prises en charge ?

Le suivi médical consiste à administrer des médicaments pour atténuer les symptômes de sevrage et traiter les troubles concomitants, comme la dépression, l’anxiété. Il existe des traitements spécifiques à certaines dépendances. Comme les substituts nicotiniques pour le tabagisme, ou la méthadone pour traiter l’addiction aux opioïdes. Le programme de réhabilitation est une prise en charge complète, en centre hospitalier ou en ambulatoire.

Il s’agit d’un programme structuré et multidisciplinaire, apportant les soins médicaux adaptés, ainsi que des séances de thérapies, des informations de sensibilisation sur l’addiction et des activités permettant une reconnexion sociale.

Les psychothérapies aident à identifier les pensées et les comportements menant à l’addiction et à développer des stratégies pour y faire face.

Les groupes de soutien permettent aux personnes de partager leur expérience et de se soutenir mutuellement au sein de leur parcours de sevrage.

Les approches alternatives sont complémentaires aux différentes prises en charge, elles permettent de réduire le stress, se reconnecter à soi-même et retrouver confiance en soi.

La Méthode d’Activation du changement rapide est une méthode alternative qui propose une approche holistique. Le praticien en Activation du Changement s’intéresse autant à l’origine inconsciente de l’addiction qu’à l’addiction elle-même. Ainsi, la combinaison de 7 techniques douces et efficaces va permettre d’élaborer un parcours d’accompagnement personnalisé et totalement adapté aux besoins de la personne. Une écoute active est mise en place pour aider à déterminer les objectifs, et ainsi s’aligner au fonctionnement et aux attentes du sujet. Des techniques psycho-émotionnelles vont libérer la personne des émotions négatives, doutes, et croyances limitantes qui pourraient la freiner dans sa démarche de sevrage. L’hypnose sera appropriée pour amener la personne à bloquer les envies incoercibles et à retrouver ses propres ressources intérieures pour atteindre les objectifs.

Comment agit-il?

Pour conclure

Dès lors qu’un comportement ou une substance est hors de contrôle, et produit des effets négatifs sur l’organisme mais également la sphère psychologique, la vie professionnelle et sociale, il est important de reconnaître les signes et d’agir rapidement.

La sélection d’une approche thérapeutique et/ou alternative dépend du type d’addiction et de la présence d’éventuels troubles, mais également des préférences personnelles. Il est essentiel de se sentir en lien et en confiance pour s’engager dans cette démarche de renouveau. Il convient donc d’expérimenter les diverses possibilités afin de trouver celle qui correspond le mieux.

FAQ

Existe-t-il une différence entre l’addiction et la dépendance ?

L’addiction est un terme large qui inclut la dépendance, mais la dépendance s’attache en réalité aux aspects physiologiques liés à la substance.

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L’addiction va être caractérisée par un besoin compulsif et incontrôlable, de consommer une substance ou s’adonner à un comportement, alors que la dépendance concerne la tolérance à une substance ou à la réaction physiologique au sevrage, avec la nécessité de consommer le produit pour en retrouver les effets.

Combien de temps dure un sevrage ?

Les symptômes du sevrage cessent au bout d’une semaine en moyenne pour une personne alcoolodépendante. Deux mois de traitement intensif sont nécessaires pour surmonter une addiction à la drogue. Les symptômes de sevrage à la nicotine disparaissent au bout de 6 à 8 semaines. La durée d’un sevrage dépend du type d’addiction, de la personnalité du sujet, de sa motivation à arrêter, de son vécu, de son environnement… Il est donc important de bénéficier d’un accompagnement qui s’adapte à la personne et qui maintient sa motivation.

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L’avantage du parcours d’accompagnement :

Oser le Changement réside dans le fait qu’il s’agit d’une thérapie brève et qu’il est entièrement personnalisé.

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