Arrêt de travail pour dépression réactionnelle : Comment faire ?
Publié le 20 novembre, 2024 par Marion Boisselière
Les médecins déterminent la durée de la suspension en fonction de l’état mental et physique de la personne malade.
En général, les périodes de suspension varient de 15 jours à 6 mois.
Les médecins déterminent la durée de la suspension en fonction de l’état mental et physique de la personne malade.
En général, les périodes de suspension varient de 15 jours à 6 mois. Toutefois, le congé peut être prolongé à tout moment si l’état de la victime ne s’améliore pas pendant le congé. Si un salarié est en arrêt maladie depuis des mois ou des années, l’arrêt maladie est requalifié en arrêt maladie prolongé.
Dans certains cas, les patients présentant des symptômes persistants, tels que ceux liés à une dépression réactionnelle, ont la possibilité d’utiliser une thérapie à temps partiel. Pour obtenir l’autorisation, il est nécessaire de présenter les avis de trois médecins : un médecin du patient, un médecin du travail et un médecin des assurances.
Les patients souffrant de dépression sont autorisés à quitter la maison à des heures fixes. En dehors de ces heures, elles doivent rester à la maison. Les personnes malades peuvent ne pas être autorisées à sortir de chez elles.
La personne atteinte de dépression s’expose à des conséquences lorsqu’il met fin à ses heures de travail. Dans ce cas, il doit être pris en charge par son assurance et recevoir des indemnités journalières.
L’assurance maladie verse aux salariés une indemnité journalière de ½ de leur salaire journalier de base. L’indemnité d’absence du travail est versée pendant 3 ans à compter du 4ème jour d’absence. Il doit également recevoir des compléments d’indemnités venant de la part de la part de son employeur. L’indemnité de congé sera versée à partir du 7e jour d’absence. Pour être éligible, les critères suivants doivent être impérativement respectés :
- 1ère année dans l’entreprise ;
- Si vous justifiez de votre incapacité de travail dans les 48 heures ;
- Participer aux assurances sociales ;
- Ne pas être salarié en télétravail, saisonnier, intérimaire ou intermittent ;
Si un salarié jouit d’un droit à des avantages complémentaires, il doit respecter les obligations suivantes dans le cas contraire, vous ne pourrez pas bénéficier d’avantages supplémentaires :
- Recevoir un traitement médical tel que prescrit par un médecin ;
- Aller à un rendez-vous chez le médecin ou à un check-up ;
- S’abstenir d’activités non autorisées.
La Sécurité sociale peut verser jusqu’à 360 jours d’indemnités journalières par période consécutive de trois ans, quel que soit le nombre de maladies.
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L’employeur est-il en droit de licencier un employé après un arrêt de travail ?
Un licenciement pour cause d’interruption de travail due à des problèmes de santé ou à une maladie est considéré comme une discrimination à l’égard de l’employeur et est nul. Dans ce cas, la victime peut saisir le Tribunal du travail et réclamer réparation du préjudice subi.
Toutefois, si le médecin du travail constate que la victime est incapable d’exercer ses fonctions, le licenciement peut être pour incapacité.
En cas de licenciement pour incapacité, une indemnité spéciale égale au double de l’indemnité légale, une indemnité de congés payés et une indemnité égale à l’indemnité de licenciement seront versées.
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