Les bienfaits d’un sevrage alcool pendant 8 jours
Publié le 6 février, 2025 par Marion Boisselière
En France, on note officiellement plus de 10 millions de personnes alcoolo-dépendantes. C’est sans compter celles « cachant » leur addiction.
Quand l’alcool devient-il une substance toxique ? Que signifie être alcoolique et qu’est-ce que cela implique ? Quels sont les bienfaits d’un sevrage à l’alcool dès les huit premiers jours et à plus long terme ? Quand franchir le pas pour guérir de cette addiction à l’alcool ? Comment se passe un sevrage à l’alcool et comment se faire accompagner ?
Les cabinets Oser le Changement, spécialisés en addictologie, accompagnent de nombreux alcoolo-dépendants dans leur sevrage. Oser le Changement vous propose une présentation et un éclairage sur l’alcoolisme, et vous présente sa méthode basée sur des techniques alternatives pour gérer ce trouble à la racine et neutraliser l’addiction.
Pourquoi faire un sevrage à l’alcool
Il est essentiel de bien comprendre la notion d’alcoolisme et de consolider votre motivation à vous sevrer de l’alcool.
Comment l’alcool agit sur le cerveau
L’alcool est une substance liquide dont les propriétés psychoactives résultent de la molécule d’éthanol qui entre dans sa composition. C’est le résultat d’une fermentation ou d’une distillation végétale à forte teneur en sucre. Elle est très calorique et pour autant elle n’est pas nutritive sur le plan biologique. En réalité, cette substance ne se digère pas : elle parvient directement dans le sang qui la véhicule dans l’ensemble de l’organisme.
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Lorsque l’alcool atteint le cerveau, il trouble l’activité neuronale. Il y a altération des capacités de perception, de réflexion, de jugement et des capacités motrices. L’alcool est connu pour ses effets euphorisants et désinhibants. C’est pourquoi il peut générer une dépendance psychologique.
Lorsque l’alcool est ingéré, il est directement pris en charge par le foie qui le transforme en une substance toxique (acétaldéhyde). Le foie est le principal organe agissant à éliminer l’alcool. Cela requiert beaucoup de temps et d’énergie de l’organisme.
L’alcool est un diurétique, ce qui provoque de la déshydratation.
Quand parle-t-on d’alcoolisme
L’assimilation d’alcool crée des toxines dans l’organisme, en ce sens, c’est une substance toxique pouvant générer des risques pour la santé dès le premier verre. La santé publique française constate que l’alcool est à l’origine de nombreuses maladies et se positionne dans le top 3 des causes de mortalité (41 000 décès en 2015). L’alcool peut être consommé « à moindre risque » lorsque la consommation n’est pas quotidienne et en quantité raisonnable.

L’alcoolique peut être défini comme une personne n’ayant pas une relation saine avec l’alcool. On parlera d’addiction lorsque la consommation d’alcool est très régulière, quotidienne, qu’elle génère un sentiment d’incapacité à se sentir bien sans boire, et enfin qu’elle s’accompagne d’un sentiment de l’ordre du besoin irrépressible de consommer.
La situation de dépendance à l’alcool peut être faible, modérée ou sévère. On peut être atteint d’une sévère alcoolodépendance visible aux yeux de tous, avec des symptômes d’ivresse flagrants et récurrents. L’addiction faible et modérée est en revanche moins facilement détectable pour autrui. La personne peut se cacher et consommer lorsqu’elle est seule. Et lorsqu’elle sera en groupe, elle peut seulement renvoyer l’image d’une personne « qui boit bien à l’occasion ». Les effets de l’alcoolisme sur l’état de la personne peuvent être mal interprétés et confondus avec des symptômes sub-dépressifs, de fatigue, de burn out…
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RDV PAYANT DE 2-3H RDV PAYANT DE 2-3HLa dépendance à l’alcool est un trouble du comportement mis en place pour anesthésier la souffrance. Cette souffrance peut être perçue de façon consciente ou/et inconsciente. Chez Oser le Changement, on agit sur la source de cette souffrance pour s’attaquer à la racine du problème d’addiction. En général, les problèmes de dépendance sont en lien avec un trouble de l’attachement installé durant l’enfance, et des traumatismes ultérieurs qui y sont reliés. L’Hypnose Renforcée®, combinée à d’autres techniques agissant en synergie, permet de prendre en compte cette souffrance à la source. La personne se sent libérée de ces souffrances, adopte une autre perception des choses, ceci lui donnant la capacité de changer ses comportements.

Il est difficile d’admettre un problème d’alcoolisme, pour soi ou pour les autres. Pourtant ce premier pas est indispensable. Une analyse biologique peut dans certains cas aider à sortir du déni. L’alcoolisme peut se détecter à travers le taux élevé de Gamma GT lors d’une prise de sang (fiable à 75 %).
Répercussions physiologiques de l’alcoolisme
L’alcoolodépendance est à l’origine de nombreuses maladies : maladies du foie, cancers des zones aérodigestives supérieures, maladies cardiovasculaires… Elle provoque aussi une détérioration des muqueuses, de l’épiderme.
– Foie : hépatites, cirrhose, stéatose hépatique, cancer. Le foie est un organe du corps humain qui a pour rôle principal de filtrer les toxines de l’organisme… Il métabolise l’alcool pour l’éliminer, ce qui est une action « fatigante » qui prend du temps. Lors d’une consommation chronique, ce dernier n’a pas le temps de « se reposer ». Fragilisé, le foie peine à accomplir ses autres fonctions vitales, ce qui peut engendrer des maladies.
– Appareil digestif : troubles digestifs (régurgitation, aérophagie, ballonnement, spasmes intestinaux, diarrhée…), cancer colorectal (gros intestin, rectum), intestins, estomac, œsophage, pharynx…
– Cavité orale : cancer de la bouche
– Gorge : cancer du pharynx (oropharynx, hypopharynx), larynx…
– Sein : certains cancers du seins chez la femme
– Cœur : augmentation de la tension artérielle, ce qui augmente des risques de maladies cardiovasculaires et des risques d’accident vasculaire cérébral (AVC)
– Peau : déshydratation de l’épiderme, altération des tissus cutanés, couperoses (rougeurs liées à la vasodilatation, c’est-à-dire que le diamètre des veines augmente, voire jusqu’à l’éclatement). Les couperoses se voient surtout au niveau du visage chez les consommateurs chroniques d’alcool.
– Silhouette et poids : surpoids, amaigrissement, risque d’apparition d’un diabète type 2. L’alcool est riche en calories et dépourvu de nutriments. Ces calories non nutritionnelles sont transformées en graisse dans l’organisme. À titre d’exemple, un verre de vin représente environ 130 Kcal, un verre de bière 240 Kcal. La consommation chronique d’alcool peut générer un surpoids, un « gros ventre » là où se loge la graisse. Certains, moins nombreux, ont un métabolisme différent et vont fortement maigrir, se creuser au niveau du visage.
– Fertilité : réduction de la fertilité
– Grossesse : risque d’anomalies du développement du fœtus, et ultérieurement possibilité de troubles du comportement chez l’enfant.
– Sommeil : perturbation de la qualité du sommeil, effet de somnolence en état de veille
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DÉCOUVRIR LE RÉSIDENTIEL DÉCOUVRIR LE RÉSIDENTIELRépercussions psychiques de l’alcoolisme
L’alcool est un neurotoxique. Une consommation chronique de cette substance altère les capacités cérébrales et augmente les risques de démence sur le long terme.
– les conséquences d’un sommeil détérioré : l’organisme et l’esprit fonctionnent au ralenti, l’énergie est faible, manque de vivacité et d’efficacité
– la détérioration des fonctions psychomotrices : tremblements, gestes malhabiles, problèmes d’équilibre…
– la détérioration des capacités cognitives : troubles de l’attention, de la concentration, troubles de la mémorisation, troubles des apprentissages…
– des risques de maladies neurologiques : lésions cérébrales, neuropathies périphériques (les nerfs du système nerveux dit « périphériques » sont endommagés), encéphalopathies (inflammation du cerveau), démence.
– la dépression : L’alcoolisme et la dépression vont souvent de pair. Le dépressif en souffrance peut avoir recours à une consommation addictive d’alcool pour anesthésier sa souffrance et essayer de lui échapper… L’alcoolique ayant des difficultés à gérer l’image de son comportement d’addict, peut tomber en dépression ou accentuer une dépression préexistante.
Répercussions psycho-émotionnelles
L’alcool peut créer un état de dépendance psychologique et sa consommation chronique perturber l’équilibre psycho-émotionnel :
– la dépendance psychologique : il y a perte de contrôle de sa consommation, l’alcool devient un besoin pour se sentir mieux et échapper à la souffrance. L’accoutumance aux effets de l’alcool induit une augmentation des doses absorbées.
– des troubles de l’humeur : altération du jugement, conduite à risque, agressivité, violence…
– une image de soi détériorée : sentiment de honte, estime de soi dégradée
– le cercle vicieux de la dépression et de la dépendance
Répercussions professionnelles et familiales de l’alcoolisme
Un alcoolique peut se mettre en difficultés financières et relationnelles. Les répercussions de son comportement endommagent sa qualité de vie et ses liens tant sociaux que professionnels :
– des difficultés financières dues à un budget conséquent imparti à sa consommation d’alcool : moins d’argent pour d’autres choses saines et importantes, découverts bancaires, dettes, loyers impayés, mise à la rue…
– des difficultés socio-professionnelles : diminution des compétences, perte d’efficacité, être le collègue ou l’ami « qui gêne », mise à l’écart, rejet, isolement, licenciement, chômage, faillite, délinquance, violences…
– des difficultés familiales : conflits, séparation, divorce, violences intra-familiales…

L’addiction à l’alcool semble « presque acceptée » socialement, contrairement à d’autres. Elle est ancrée dans les habitudes de l’Homme depuis toujours. Selon les époques et les modes, l’image de l’alcool évolue, mais une chose demeure constante : la production et la commercialisation d’alcool est taxée par le pouvoir politique en place, lui rapportant un budget conséquent.
La première prise de conscience officielle sur les méfaits de l’alcoolisme date seulement de 1887.
II – Les bienfaits d’un sevrage alcool 8 jours
Les bienfaits d’un sevrage à l’alcool s’observent clairement en l’espace d’une semaine, et continuent au-delà. Dès les 8 premiers jours, la personne ressent un mieux-être et constate une amélioration de son état de santé.
Le sevrage permet de retrouver un « état d’avant l’alcoolisme ». Selon le degré d’intoxication et selon l’état de santé de la personne, la régénération de l’organisme peut-être intégrale ou partielle. On peut observer les bienfaits d’un sevrage alcool 8 jours à court terme puis à moyen et long terme.
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RDV GRATUIT DE 15MIN RDV GRATUIT DE 15MINBienfaits physiologiques
L’abstinence provoque les bienfaits physiologiques suivants :
– régénération du foie : le foie « se repose », il commence à se régénérer dès les 8 premiers jours, et se rétablit complètement sous 1 à 2 mois. Il pourra ainsi reprendre correctement l’ensemble de ses fonctions.
– appareil digestif de nouveau opérationnel : l’ensemble de l’appareil digestif est soulagé par l’arrêt de l’alcool. Il va ainsi retrouver un bon fonctionnement au niveau de la digestion. Un confort digestif est donc retrouvé, mais pas seulement. Le corps pourra assimiler de nouveau correctement les nutriments ingérés, leur assimilation sera efficace et complètement rétablie. Au total un état de santé meilleur dans sa globalité avec regain d’énergie est observé.

– régénération de l’épiderme et des muqueuses : la peau retrouve un meilleur aspect et une élasticité naturelle du fait qu’elle ne soit plus en déshydratation. Les rougeurs (couperoses) s’estompent et le teint redevient uniforme. L’effet bonne mine est visible dès les 8 premiers jours. Il faut 3 semaines en moyenne, pour retrouver une réhydratation totale de la peau et la disparition complète des rougeurs (c’est-à-dire le temps d’un cycle de renouvellement cellulaire de l’épiderme).
– amélioration de la silhouette : les aliments sont mieux digérés et les habitudes alimentaires saines sont rétablies. Ceci permet de retrouver une silhouette et un IMC (indice de masse corporelle) convenable. Les prémices de cette amélioration commencent à se ressentir en une semaine.
– sommeil réparateur : il faut une semaine à l’organisme pour retrouver un bon cycle de sommeil paradoxal. L’arrêt de l’alcool permet le retour durable d’un sommeil de qualité et par conséquent une meilleure forme. Ce regain d’énergie aura des incidences bénéfiques : capacités physiques améliorées, système immunitaire plus performant, capacités cognitives boostées, sensation d’efficacité retrouvée. Le tout engendre une meilleure humeur.
À moyen et long terme, on constate une diminution des risques de cancer et une baisse de la tension artérielle (amoindrissement des risques d’AVC et de crise cardiaque).
Bienfaits neurologiques
Retrouver une qualité de sommeil permet au cerveau de mieux se régénérer, ce qui procure des bénéfices neurologiques visibles dès les 8 premiers jours :
– amélioration des fonctions psychomotrices : équilibre, précision du geste, disparition des tremblements
– amélioration des capacités cognitives : attention, concentration, mémorisation…
– vivacité d’esprit retrouvée : amélioration des capacités de raisonnement, de prise de décision…
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RDV PAYANT DE 2-3H RDV PAYANT DE 2-3HBienfaits psycho-émotionnels
Le sevrage permet d’accéder à un meilleur équilibre émotionnel, ce qui implique :
– une bonne image et une bonne estime de soi
– une humeur plus stable
– un sentiment de force d’avoir coupé ce lien toxique avec la boisson
– une augmentation des capacités de résilience avec un état dépressif qui se dissipe, diminuant ainsi le sentiment de vulnérabilité
La méthode proposée par Oser le Changement possède les outils nécessaires pour gérer sur un même front la dépendance et la dépression, ces deux derniers étant souvent étroitement liés et induits par la souffrance. La spécificité de la méthode est de travailler tant sur l’origine de l’addiction que sur les solutions pour l’arrêter. Cet accompagnement permet de s’occuper conjointement de la dépendance et de la dépression. Il propose une « rééducation mentale » positive permettant une nouvelle perception et un nouveau comportement.
Bienfaits socio-économiques
L’arrêt de l’alcool permet de faire de belles économies. Il permet de réattribuer ce budget sur des activités plus saines et plus réjouissantes.
Le sevrage permet de retrouver des liens sains et de qualité avec l’entourage personnel et professionnel. Tout comme le budget, l’obnubilation et le temps perdu à boire de l’alcool peuvent être réattribués ailleurs (consacrer plus de temps de qualité aux proches, renforcement des relations).

III – Quand faire un sevrage alcool 8 jours
Dès lors qu’il y a une prise de conscience du problème d’addiction, il faut agir pour organiser le sevrage.
Le déclic permettant de prendre conscience et d’arriver à se dire « j’ai un problème avec l’alcool » peut prendre plusieurs formes :
– un constat personnel : on s’aperçoit que l’on boit tous les jours, on boit seul, en cachette… On sent qu’on n’arrive pas à réduire sa consommation et qu’on est incapable de résister. On se sent submergé par un état de dépression…
– une alerte par le biais de l’entourage : tentatives pour raisonner la personne, ou des conflits autour de comportements liés à l’addiction, ou le rejet du groupe familial et amical (menace séparation…)
– une alerte médicale : résultats d’analyses, diagnostic d’une maladie, grossesse…
– une situation accidentelle qui a un rôle d’« électrochoc » : se faire une blessure, avoir ou causer un accident, faire une faute professionnelle grave, être licencié.
Un alcoolique dans le déni de son comportement addictif ne peut être guéri.
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DÉCOUVRIR LE RÉSIDENTIEL DÉCOUVRIR LE RÉSIDENTIELIV – Comment se passe un sevrage alcool 8 jours
Après la prise de conscience et l’acceptation de l’état d’alcoolo-dépendance, il faut réagir et chercher à mettre en place une solution.
Sevrage : les effets secondaires du manque
Les effets secondaires pouvant être ressentis lors du sevrage sont variables, en fonction du degré d’intoxication de la personne (quantité consommée, temps écoulé depuis le début de l’addiction).
Voici les symptômes fréquents ressentis dans les premières 48h : nervosité, anxiété, angoisse, insomnie, nausées, tremblements, fatigue.
Ces effets du manque se dissipent petit à petit pour disparaître sous une huitaine de jours.
Traitements classiques pour la dépendance à l’alcool
Pour faire un sevrage, on a l’habitude d’avoir recours à différentes possibilités :
– aller en centre de soins (ambulatoire) ou en cure de désintoxication (hospitalisation)
– se faire prescrire des médicaments : anxiolytiques, vitamines B, baclofène…
– suivre une psychothérapie
– participer à des groupes de parole (Alcooliques Anonymes, Croix bleue, Al Anon…)
Avec ces dispositifs, on constate que « l’ancien buveur » dit « rétabli » n’est pas guéri, et un taux extrêmement élevé de rechutes le confirme. Selon une étude datant de 2020, on observe qu’après ce type de sevrage on a :
– dès les 3 premiers mois : 50 % de rechutes
– et globalement sur une année : 70 à 90 % de rechutes
– on note que les sevrés ayant participé avec assiduité à un groupe de parole ont un taux de rechute moindre.
En 2009 ces chiffres étaient à l’identique.
Pourquoi cette constance en termes de rechutes ?
– parce que la problématique de dépendance n’est pas traitée à la source. Les souffrances ne sont pas apaisées en profondeur.
– parce que les souffrances n’étant pas apaisées, elles sont constamment réactivées par des émotions fortes (peur, tristesse, colère…), ce qui favorise la rechute.
– parce que l’État ne propose pas d’autres solutions plus efficaces.
Les cabinets Oser le Changement ont un meilleur taux de réussite en termes de rechutes. Après des années de recherches et de formations, Marion Boisselière a mis au point en 2012 cette méthode d’Hypnose Renforcée et a ouvert son premier cabinet, maintenant déployé sur plusieurs pays. L’ensemble des techniques pratiquées dans le cadre de cette méthode permet de se libérer de la dépendance, de retrouver un équilibre de vie… le tout de manière naturelle et surtout sans compensation.
Il est à noter qu’ayant pris conscience des limites des traitements « classiques » pratiqués jusqu’alors, le monde médical s’intéresse de plus en plus au principe d’Activation du Changement..
Vous vous sentez dans une impasse ? Vous avez tout essayé ? Vous vous demandez comment faire pour ne pas replonger ?
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Accompagnement de la dépendance à l’alcool avec Oser le Changement
Oser le Changement propose un accompagnement sur mesure et personnalisé pour en finir avec la dépendance et réussir son sevrage.
La méthode d’accompagnement au changement est basée sur deux axes : l’origine de d’addiction et la solution pour s’en libérer. Elle utilise des techniques agissant sur la reprogrammation mentale en douceur.
L’accompagnement se fait sous forme de séances individuelles. Le premier rendez-vous est une séance initiale, où s’établit un protocole en fonction du cas et de la situation. La fréquence des séances, la durée du parcours d’accompagnement et les objectifs sont définis ensemble.
Quelles sont les étapes du parcours d’accompagnement ?
– comprendre et identifier les souffrances
– remonter à l’origine de cette souffrance (souvenirs, traumatismes)
– activation du changement : « dialoguer » avec l’inconscient pour agir sur les sensations de souffrances liés à ces souvenirs et traumatismes
– consolider la suppression des sensations de souffrance associées à ces souvenirs et traumatismes.
– accueillir une nouvelle perception et un nouveau comportement
– intégration du changement
Dans ce parcours d’accompagnement, le praticien en Activation du Changement choisira les techniques les mieux adaptées à la situation. Il dispose d’un large panel de 7 techniques qui se combinent entre elles :
– des techniques de psychologie émotionnelle : l’EFT (technique de libération émotionnelle), la Logosynthèse, le Zéro Mental, la TEEC (Transformation des Empreintes Énergétiques et Cognitives)
– des techniques hypnotiques : l’Hypnose Ericksonienne, le RITMO (Retraitement de l’Information Traumatique par Mouvements Oculaires) inspiré de l’EMDR, l’IFS (Internal Family System).
Conclusion
Bénéficier des nombreux bienfaits du sevrage à l’alcool, en finir avec ce fléau de la dépendance, adopter un nouveau comportement libérateur et durable : c’est possible ! Retrouvez les avis de celles et ceux qui ont réussi à arrêter l’alcool grâce à la Méthode Oser le Changement et qui ont bien voulu partager leur vécu : leurs témoignages face caméra.
Vous souhaitez un accompagnement personnel pour vous libérer de votre addiction, obtenir les coordonnées d’un praticien référencé : Contacter Oser le Changement !
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