Comment traiter et soigner l’alcoolisme ?

Publié le 28 février, 2025 par Marion Boisselière

La dépendance alcoolique affecte non seulement la santé physique et mentale, mais peut également, à terme, altérer les performances professionnelles et impacter les relations sociales. Renoncer à la consommation d’alcool peut ainsi devenir une nécessité pour retrouver un équilibre de vie.

Cependant, le sevrage reste une démarche complexe, nécessitant un accompagnement global si l’on souhaite obtenir des résultats probants et durables. Quels sont les enjeux de l’alcoolodépendance et quelles sont les étapes et les méthodes pour en sortir durablement ? Cet article explore ces questions essentielles pour offrir un aperçu complet des solutions disponibles.

Qu’est-ce que l’alcoolisme ?

L’alcoolisme, ou dépendance alcoolique, est un trouble multifactoriel qui se caractérise par la consommation excessive et non maîtrisée de boissons alcoolisées. Ce trouble est susceptible d’affecter la qualité de vie à plusieurs niveaux.

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Sur le plan physique, la consommation d’alcool perturbe le fonctionnement des organes, notamment le foie, qui joue un rôle capital dans l’élimination des substances toxiques du corps. L’alcool endommage les cellules hépatiques, entraînant des affections telles que la stéatose hépatique, l’hépatite alcoolique et la cirrhose. À long terme, d’autres organes peuvent également être affectés, tels que le cœur (risque accru de cardiomyopathie et d’hypertension), le pancréas (pancréatite), et le système digestif (gastrite, ulcères).

L’alcoolodépendance a également des répercussions sur la santé mentale. Elle peut conduire à des troubles de l’humeur, tels que la dépression et l’anxiété, et augmenter le risque de troubles cognitifs et de démence à long terme. Les performances cognitives peuvent être altérées, affectant la mémoire, la concentration et la prise de décisions.

Quand la consommation d'alcool est un besoin et non faite par plaisir, il est question d'addiction.

Sur le plan social et professionnel, l’alcoolisme peut avoir de lourdes conséquences. Il peut détériorer les relations interpersonnelles, entraîner des conflits familiaux et professionnels, et compromettre les performances au travail.

En outre, les personnes alcoolodépendantes développent souvent une tolérance à l’alcool, ce qui les pousse à consommer des quantités de plus en plus importantes pour obtenir le même effet. Cela peut entraîner une dépendance physique, où l’organisme s’adapte à la présence de l’alcool et en nécessite pour fonctionner normalement. Lorsque les personnes alcoolodépendantes arrêtent brusquement de boire, elles peuvent ressentir des symptômes de sevrage, tels que des tremblements, des nausées, des sueurs, des crises d’angoisse, et dans les cas graves, des convulsions.

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En plus des impacts sur la santé, l’alcoolisme peut entraîner des problèmes légaux (comme les infractions liées à la conduite en état d’ivresse) et des conséquences sociales (perte d’emploi, isolement social).

En France, l’alcoolisme touche environ 5% de la population, affectant différentes couches de la société, sans distinction de sexe, d’âge ou de statut socio-économique.

Quelles sont les causes de l’alcoolisme ?

Comme pour tous types de dépendances, l’alcoolisme découle de multiples facteurs, et il est souvent le résultat d’une combinaison de ces derniers. En réalité, on peut énumérer un grand nombre de causes à l’alcoolisme.

– Les causes génétiques : De récentes études sur les origines de l’alcoolisme mettent en évidence des facteurs génétiques. Il n’existe pas de « gène de l’alcoolisme » unique, mais des gènes sur différents chromosomes ont été identifiés comme étant impliqués dans cette dépendance.

La prédisposition à l'alcoolisme peut être de cause génétique.

Ces recherches estiment que la génétique peut expliquer entre 50 % et 60 % de la prédisposition à l’alcoolisme. En outre, cette vulnérabilité génétique peut également être influencée par la socialisation familiale.

– Les causes métaboliques : Tous les organismes n’assimilent pas l’alcool de la même manière. Certaines personnes ont besoin de consommer une grande quantité d’alcool pour ressentir ses effets, tandis que d’autres peuvent ressentir ces effets dès le moindre verre. Ceux qui sont naturellement tolérants à l’alcool sont donc plus susceptibles de développer une dépendance. Dans certaines familles ou groupes sociaux, une « culture de l’alcool » peut également exposer les individus à une consommation régulière et à une dépendance accrue.

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– Les facteurs psychologiques : Certaines pathologies psychologiques, telles que la schizophrénie, la dépression et les troubles anxieux, peuvent prédisposer à l’abus d’alcool. L’alcool, en tant que dépresseur du système nerveux central, peut offrir un soulagement temporaire aux personnes en situation de stress ou de détresse émotionnelle, ce qui peut mener à une consommation excessive et à une dépendance par effet de récompense.

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– Les facteurs sociaux : Certains groupes sociaux sont particulièrement vulnérables à l’abus d’alcool, notamment les personnes en situation de précarité ou d’isolement social. Le stress lié à des conditions de vie difficiles peut également contribuer à une consommation excessive d’alcool

– Les effets de l’alcool sur le système nerveux : L’alcool est une substance psychoactive qui agit directement sur le cerveau, en particulier sur le système nerveux central. Il influence la régulation des fonctions essentielles de l’organisme, telles que la motricité et l’équilibre, ainsi que les perceptions sensorielles (vision, toucher, audition, odorat). La consommation d’alcool provoque une sensation de relaxation et d’euphorie, ce qui incite les individus à en consommer davantage pour retrouver ces sensations agréables.

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Déclencheurs traumatiques et émotionnels : Les traumatismes et les émotions non résolues peuvent être à l’origine profonde et inconsciente de la dépendance à l’alcool. Les individus peuvent utiliser l’alcool comme un moyen d’échapper à des souvenirs douloureux ou à des émotions difficiles à gérer.

Passer un test ou un diagnostic d’alcoolisme

Comme pour toutes les pathologies neuropsychologiques, il existe des tests et des moyens de dépistage pour poser un diagnostic d’alcoolisme. La consommation à risque ou problématique peut être évaluée selon certaines études à partir de 15 verres par semaine pour les hommes, et 10 verres par semaine pour les femmes.

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Un verre correspond à 43 ml de spiritueux (40 % d’alcool), 142 ml de vin (12 % d’alcool), 341 ml de bière (5 % d’alcool) ou 85 ml de vin fortifié (18 % d’alcool). Cependant, ce barème seul ne suffit généralement pas pour poser un diagnostic. Il est nécessaire d’avoir l’avis d’un médecin qui utilisera ses connaissances et son expérience pour évaluer la situation. Les stratégies de détection des problèmes d’addiction sont variées :

Questionnaires d’hygiène de vie : Incorporer des questions sur la consommation d’alcool dans les questionnaires d’hygiène de vie administrés à tous les patients est une méthode discrète pour recueillir des informations sans pression, permettant une réponse honnête et décontractée du patient.

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Tests de dépistage à question unique : Ces tests peuvent être utilisés pour évaluer rapidement le rapport à l’alcool d’un individu.

Tests de laboratoire : Des analyses biologiques peuvent également être effectuées pour déterminer la consommation d’alcool et évaluer ses effets sur l’organisme.

Il est important de noter que le diagnostic d’alcoolisme doit être posé par un professionnel de santé, qui prendra en compte l’ensemble des informations recueillies et les symptômes cliniques observés.

Quelques outils de dépistage d’alcoolisme

En France, les stratégies de dépistage de l’alcoolisme reposent principalement sur des questionnaires standardisés et des tests de laboratoire. Voici un aperçu des méthodes couramment utilisées :

L'audition est un moyen d'en apprendre plus sur son interlocuteur durant le suivi médical.

Questionnaire AUDIT (Alcohol Use Disorders Identification Test) : Conçu par l’Organisation Mondiale de la Santé, ce questionnaire est l’un des outils de référence pour évaluer la consommation d’alcool et identifier les risques de dépendance. Il se compose de 10 questions qui évaluent l’utilisation et les conséquences de l’alcool. Chaque question est notée sur une échelle à 5 niveaux, permettant de dresser un profil précis du buveur

– Questionnaire AUDIT-C : Une version abrégée de l’AUDIT, ce questionnaire se concentre sur les trois premières questions de l’AUDIT, qui évaluent la fréquence et la quantité de consommation d’alcool. Il est plus facile et rapide à administrer, tout en fournissant des indications précieuses sur les habitudes de consommation.

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Tests de laboratoire : Des analyses biologiques, telles que la mesure des gamma-glutamyl transférases (GGT), des transaminases (ASAT et ALAT) et du volume globulaire moyen (VGM), peuvent être utilisées pour évaluer la consommation d’alcool et ses effets sur l’organisme.

Il est important de noter que le diagnostic d’alcoolisme doit être posé par un professionnel de santé, qui prendra en compte l’ensemble des informations recueillies et les symptômes cliniques observés. Les tests de dépistage sont des outils précieux pour identifier les risques de dépendance, mais ils doivent être utilisés en complément d’une évaluation clinique complète.

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2 – les tests de laboratoire.

Les tests de laboratoire sont un moyen privilégié et redoutablement efficace pour évaluer l’état de dépendance d’un sujet à l’alcool. Ils reposent généralement sur la détection de certaines substances spécifiques dans le sang, permettant ainsi d’évaluer les dommages causés par la consommation excessive d’alcool, notamment au niveau hépatique. Bien que leur sensibilité soit relativement faible, les analyses de sang sont surtout recommandées pour le suivi des patients ou pour confirmer un diagnostic déjà établi. Voici les principaux tests de laboratoire utilisés :

Dosage des gamma-GT (Gamma-glutamyl Transpeptidases) : Les gamma-GT sont des enzymes indicatrices de problèmes hépatiques. Leur concentration dans le sang augmente avec une consommation d’environ quatre verres d’alcool ou plus par jour, avec une sensibilité de 50 %. Cependant, en raison de leur lien avec d’autres affections comme le diabète et l’obésité, il peut être difficile de confirmer que leur présence est due uniquement à une consommation excessive d’alcool. Les gamma-GT ont une durée de vie relativement courte, il est donc préférable de réaliser deux tests sur une période de sevrage pour confirmer le diagnostic. Si le taux de gamma-GT diminue significativement, cela peut indiquer que le problème est lié à la consommation d’alcool.

Les analyses en laboratoire donnent des résultats précis et fiables.

_ Hémogramme (Volume Globulaire Moyen, VGM) : L’hémogramme mesure la taille moyenne des globules rouges dans le sang. En cas de problèmes liés à l’alcoolisme, le VGM a tendance à augmenter. Toutefois, cette mesure peut également être influencée par d’autres pathologies hépatiques non liées à la consommation d’alcool, ainsi que par la prise de certains médicaments. Si l’augmentation du VGM est due à une consommation excessive d’alcool, les globules rouges retrouveront leur taille normale après quelques mois de sevrage (environ 3 mois).

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Il est important de noter que ces tests de laboratoire ne sont pas infaillibles et doivent être interprétés par un professionnel de santé dans le cadre d’une évaluation clinique complète. Ils sont particulièrement utiles pour surveiller l’évolution de la consommation d’alcool et les effets sur l’organisme au fil du temps.

Comment traiter l’addiction et la dépendance à l’alcool ?

Traiter une addiction à l’alcool nécessite de comprendre qu’elle comporte deux aspects : la raison profonde et les symptômes. Ainsi, l’approche thérapeutique doit non seulement prendre en compte les manifestations de l’addiction, mais aussi ses origines inconscientes. Les traitements existants se répartissent principalement en deux catégories : les traitements médicamenteux et les thérapies psychologiques ou alternatives.

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Certaines méthodes se concentrent sur les symptômes visibles, tandis que d’autres s’attaquent aux causes sous-jacentes de l’addiction.

Les traitements médicamenteux

Les traitements médicamenteux sont prescrits après un diagnostic médical, en fonction de la sévérité de l’alcoolodépendance. Leur objectif principal est de réduire les envies de consommer de l’alcool et de traiter les symptômes de sevrage. Parmi les médicaments couramment utilisés, on trouve les anxiolytiques, les carbamates (une classe de médicaments qui agissent comme des anxiolytiques et des relaxants musculaires) et les antidépresseurs, qui aident à inhiber l’envie de boire et à interrompre les phénomènes de manque. Ces médicaments permettent également au patient de maintenir une certaine sérénité pendant le traitement et de prévenir la dépression.

Il existe également des médicaments à effet antabuse, qui provoquent une réaction de dégoût envers l’alcool lorsqu’il est consommé. Ces médicaments sont particulièrement efficaces pour prévenir les rechutes. Parmi les médicaments en vente libre, on peut trouver certains compléments alimentaires et produits à base de plantes qui prétendent aider à réduire l’envie de consommer de l’alcool, mais leur efficacité est souvent limitée et ils doivent être utilisés avec prudence.

Un traitement médicamenteux est le plus couramment utilisé et efficace.

Il est important de souligner que la prise de traitements médicamenteux doit être accompagnée d’un suivi médical rigoureux. Certains patients peuvent se tourner vers les médicaments en vente libre pour éviter ce suivi, car ils ne se sentent pas à l’aise à l’idée d’être surveillés de près. Cependant, le suivi médical permet de contrôler les effets indésirables et d’ajuster le traitement si nécessaire, ce qui est indispensable étant donné que ces traitements peuvent présenter des effets secondaires non négligeables.

En résumé, les traitements médicamenteux jouent un rôle essentiel dans la gestion de l’alcoolodépendance en aidant à freiner les envies de consommer de l’alcool et en soulageant les symptômes liés au manque, tels que l’anxiété et la dépression.

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Les traitements thérapeutiques

Les traitements thérapeutiques sont nombreux et ont généralement pour objectif de permettre au patient d’accéder à un état de bien-être profond. Bien qu’il soit difficile de recenser tous les types de thérapies utilisés dans le traitement de l’alcoolisme, il est possible d’en distinguer quelques-uns.

La psychothérapie et thérapies comportementales : Cette méthode de traitement est entièrement axée sur la psychologie du patient. Toutes les formes de dépendance trouvent leur origine dans la psychologie de l’individu. Il est donc primordial d’influencer cette psychologie pour aider le patient à se débarrasser de son addiction. Cette méthode est pratiquée par un psychothérapeute, un psychanalyste ou un psychiatre assermenté. L’efficacité de ces méthodes a été prouvée au fil des années, et il existe même des centres spécialisés dans ce type de traitement.

Les thérapies comportementales, telles que la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), sont particulièrement efficaces pour traiter l’alcoolodépendance. Elles aident le patient à identifier et à changer les schémas de pensée négatifs et les comportements destructeurs associés à l’alcool. Les thérapies comportementales visent à enseigner au patient des stratégies pour faire face aux envies de consommer de l’alcool et à développer des comportements plus sains.

Une thérapie améliore grandement le bien être physique et mental.

Les cures thermales : Bien qu’il n’existe pas de cures spécifiquement destinées à traiter l’alcoolodépendance, les cures thermales favorisent la détoxification du corps, apaisent les tensions et soutiennent la régénération des organes. L’eau des sources thermales, riche en minéraux, renforce le corps et le système immunitaire, tout en éliminant les toxines accumulées pendant la période de consommation excessive.

Le programme résidentiel Oser le Changement : Ce programme résidentiel propose une expérience immersive dans un cadre naturel et ressourçant. Les participants bénéficient de séances quotidiennes d’Hypnose Renforcée®, une technique qui établit un dialogue avec l’inconscient pour identifier et gérer l’origine inconsciente de l’addiction. Cette méthode permet également de rechercher et de réactiver les ressources intérieures de la personne pour favoriser l’adoption de nouveaux comportements sains. Le programme, en comité réduit, offre une attention soutenue et des activités relaxantes et revitalisantes, telles que les bains thermaux, le yoga et la randonnée, pour s’éloigner du contexte habituel et se reconnecter à soi-même.

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Cette approche holistique permet de travailler sur l’addiction en elle-même ainsi que sur ses causes profondes, ce qui est essentiel pour obtenir des résultats rapides, profonds et durables.

Le sevrage alcoolique

Le sevrage alcoolique correspond à la période où une personne arrête toute consommation d’alcool pour se défaire de sa dépendance. Cette période est essentielle pour permettre aux organes de se régénérer et de retrouver un fonctionnement normal. Cependant, elle peut aussi être difficile à vivre en raison des symptômes liés au syndrome de sevrage.

Le syndrome de sevrage alcoolique se manifeste lorsque la consommation d’alcool diminue brusquement chez une personne dépendante. Les premiers signes apparaissent généralement dans les six heures suivant la dernière consommation d’alcool et s’intensifient au cours des 24 à 72 heures suivantes. Les symptômes peuvent inclure :

  • Anxiété
  • Sauts d’humeur
  • Tremblements
  • Fièvre
  • Nausées
  • Hallucinations
  • Troubles végétatifs
  • Agitation
  • Tendance à la violence

Ces symptômes nécessitent une vigilance accrue et peuvent nécessiter une intervention médicale urgente, voire une hospitalisation, en cas de complications graves. Il est donc important d’accompagner le sevrage avec un suivi médical rigoureux pour éviter toute conséquence grave.

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Malgré ces difficultés, le sevrage alcoolique présente de nombreux bienfaits. En effet, cette période permet de soulager les organes, qui commencent à se régénérer et à éliminer les toxines accumulées pendant la consommation d’alcool. Avec un suivi médical adéquat, les premiers signes d’amélioration peuvent apparaître dès le septième jour.

Bien que le sevrage alcoolique puisse être éprouvant, il est essentiel pour retrouver la santé et se libérer de la dépendance. Un accompagnement médical est recommandé pour garantir la sécurité et le succès du sevrage.

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Les remèdes naturels contre l’alcoolisme

Bien qu’il soit recommandé de s’adresser à un médecin traitant ou à un addictologue pour aborder la délicate question du sevrage, nombreux sont ceux qui ne parviennent pas à franchir ce pas. Il peut y avoir la peur du jugement, la difficulté à prendre conscience de la gravité de leur état, ou tout simplement un refus de subir d’éventuels effets secondaires dus à l’absorption de substances chimiques. D’autres souhaitent accélérer le processus médical via des méthodes naturelles. Face à la nécessité d’arrêter leur consommation, ils envisagent de tenter l’aventure avec des remèdes naturels.

L’homéopathie : Cette méthode repose sur le principe de traiter le mal par le mal, en utilisant des substances diluées qui, à dose plus élevée, provoqueraient des symptômes similaires à ceux de la maladie. L’homéopathie est facile d’accès et peut être utilisée en complément d’autres traitements. Cependant, il est important de noter que son efficacité est souvent controversée et qu’elle présente des limites.

La phytothérapie : Cette approche utilise les propriétés de certaines plantes pour traiter l’addiction à l’alcool. Par exemple, le kudzu est réputé pour réduire l’envie de consommer de l’alcool, tandis que la valériane aide à apaiser l’anxiété. Cependant, certaines plantes comme le millepertuis peuvent provoquer des interactions avec certains médicaments. Il est donc capital de respecter une posologie précise et de consulter un professionnel de la santé avant d’utiliser ces plantes.

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L’hypnose Renforcée : Cette méthode naturelle et efficace considère aussi bien l’addiction que les origines inconscientes de cette dernière. Associée à six autres techniques, l’Hypnose Renforcée permet d’apaiser les émotions négatives liées à la consommation d’alcool et au sevrage, de transformer les croyances limitantes et les perceptions négatives de l’individu. En abordant l’addiction sous tous ses aspects, cette méthode permet d’obtenir des résultats probants et de prévenir les rechutes.

Les méthodes naturelles peuvent ainsi être très complémentaires de l’intervention médicale et contribuer à ancrer les résultats. Mais bien que les remèdes naturels puissent offrir une alternative aux traitements conventionnels, il est important de les utiliser avec prudence et sous la supervision d’un professionnel de la santé. Cela permet de garantir leur efficacité et de minimiser les risques d’effets indésirables.

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Aller voir un médecin

L’alcoolodépendance est un trouble qui nécessite une prise en charge globale et spécifique. Prendre contact avec un médecin est la première étape vers la guérison. Cette démarche prouve que le patient a pris conscience de son rapport particulier avec l’alcool. Cependant, il est important de faire attention : certaines personnes ont un seuil de tolérance à l’alcool plus élevé, ce qui leur permet de consommer d’importantes quantités sans avoir de troubles comportementaux apparents.

Il est donc essentiel de consulter un spécialiste dès qu’un changement de comportement vis-à-vis de l’alcool est ressenti. Le médecin pourra coordonner les interventions multidisciplinaires et valider les remèdes naturels, garantissant ainsi un sevrage de manière sécurisée. Consolider ces résultats avec une méthode holistique, comme Oser le Changement, qui travaillera sur les émotions négatives et les causes inconscientes de l’addiction, ancrera les résultats et limitera les risques de rechute.

Les questions les plus fréquentes

Peut-on prendre des médicaments et suivre un programme Oser le Changement ?

Oui, la prise de médicaments est tout à fait compatible avec le programme Oser le Changement. Ce programme utilise des méthodes douces et naturelles pour activer en douceur des leviers de changement chez la personne. Les traitements médicamenteux agissent chimiquement sur différents symptômes, tandis que l’Hypnose Renforcée agit sur les causes inconscientes et les émotions à transformer. En combinant les deux approches, on maximise les chances de succès en traitant à la fois les manifestations physiques et les origines psychologiques de l’addiction.

Il est important de ne pas arrêter le traitement médicamenteux sans l’avis du médecin, afin d’assurer la sécurité et l’efficacité du processus de sevrage.

La prise de conscience et dite stop, j'arrête.

Que propose Oser Le Changement ?

Oser le changement propose une méthode basée sur l’Hypnose et 6 autres techniques hypnotiques ou psycho-émotionnelles pour travailler sur la problématique et sur ses origines inconscientes.

Comment ?

La synergie de techniques permet de personnaliser le parcours d’accompagnement en s’adaptant aux besoins réels, aux éventuelles résistances, aux émotions et aux croyances de l’individu. L’Hypnose Renforcée instaure un dialogue avec l’inconscient, le rendant réceptif aux suggestions lui permettant d’activer des comportements sains.

Quelle est la condition nécessaire au changement ?

La condition nécessaire au changement est d’avoir l’envie d’aller vers un mieux-être. L’hypnothérapeute pourra agir sur les résistances en écoutant chacune des parties de la personne et en harmonisant ces différentes facettes.

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