Comment traiter et soigner l’alcoolisme ?
Publié le 4 novembre, 2024 par Marion Boisselière
L’alcoolisme est une dépendance de l’organisme aux substances alcoolisé. C’est une affection du réseau neurologique qui commande le système de récompense au niveau du cerveau. Plus la consommation d’alcool est grande, plus le cerveau augmente le seuil de tolérance.
Cette pathologie est source de plusieurs complications, autant sur le plan physiologique, psychologique que sociale. Il est important d’apprendre à en venir à bout, pour un retour à une vie « normale. »
Qu’est-ce que l’alcoolisme ?
L’alcool est l’un des stupéfiants les plus consommé de par le monde. C’est d’ailleurs le produit psychoactif le plus en vogue dans les quatre coins du monde. On estime à plus de 75 % la population mondiale, consommatrice de ce produit plus ou moins dangereux pour la santé. Entant que produit stupéfiant ou si vous préférez, psychoactif, l’alcool agit de manière assez direct sur les neurones transmetteurs du cerveau. L’alcoolisme est donc une affection de ce système neuronale, conduisant l’organisme du patient à toujours demandé encore plus d’alcool.
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Comme dit plus tôt, dans une situation d’alcoolisme, plus l’apport d’alcool est grand, plus le cerveau augmente son seuil de tolérance. et en place un système de récompense permettant à l’organisme de se sentir bien, qu’une fois après avoir consommé de l’alcool. Ce système de récompense est enjolivé par la très forte capacité d’assimilation de l’éthanol par l’organisme.
En effet, l’éthanol (principe actif de toute les boissons alcoolisées) est l’un des seules substances, capable de passer directement de l’estomac vers le centre nerveux. Ce transfert lorsqu’il est fait dans une proportion plus ou moins importante, affecte sérieusement le système nerveux centrale, provoquant ainsi de l’euphorie, du calme et de relaxation. À plus forte dose, une perte partielle de motricité est observable.
Le système respiratoire n’est pas non plus épargné ; on assiste à un ralentissement de la fréquence respiratoire, ce qui pourrait aboutir à un coma éthylique ; une situation clinique très grave, qui nécessite une prise en charge d’urgence. Par ailleurs, les fonctions seront-elles aussi touchées ; entrainant délire et quelques divagations. La consommation d’alcool ne constitue pas en elle-même de l’alcoolisme, et ne pose pas réellement de problème ; pas plus que quelques abus anarchiques de temps en temps. Le véritable problème intervient quand on observe une certaine dépendance vis-à-vis des substances alcooliques. Cette situation de dépendance se ressent généralement par la survenue des signes de « manques. »
Les signes de manques peuvent être de différents ordres ; une simple sensation de malaise, les jambes et les mains qui tremblent, une humeur morose, une forte irritabilité, la survenue de fièvre intempestive et accrut pour ne citer que ceux-là.
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Les signes de manques disparaissent automatiquement à la prise d’alcool.
Quelles sont les causes de l’alcoolisme ?
Comme tous types de dépendances, l’alcoolisme découle d’une corruption du système sociale de l’individu, mais pas seulement. En réalité, on peut énumérer un nombre pléthorique de causes à l’alcoolisme.
– Les causes héréditaires : malgré les critiques, de récentes études faites sur les origines de l’alcoolisme permettent de mettre en exergue des origines héréditaires de la maladie. En réalité, il n’existe pas de gêne commandeur de la pathologie ; toute la communauté scientifique est d’accord sur ce sujet.
Cependant, lors des récentes investigations, les chercheurs sont arrivés à isolés des gènes de différents chromosomes dont l’implication dans l’alcoolisme commence à être avéré.
Cette étude permet d’évaluer l’impact de la génétique entre 50 et 60 % de l’alcoolisme. Par ailleurs, même si l’héritabilité de l’alcoolisme par voie génétique tend à être prouvé, il faut aussi noter qu’elle peut aussi être transmise par socialisation.
– Les causes métaboliques : tous les organismes n’assimilent pas de la même manière les aliments qu’ils ingurgitent. De même, chaque traite l’alcool selon sa constitution et ses convenances. Pendant que d’autres ont besoin d’une certaine dose d’alcool, avant d’en sentir les effets, pour d’autres, le moindre verre est suffisant pour avoir des signes d’excès. Ceux qui sont naturellement tolérants à l’alcool sont donc plus sujets à souffrir d’alcoolisme, cela va de soi.
C’est aussi une forme de transmission héréditaire dans certaines familles.
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Certaines familles ou groupes sociaux ont une sorte de culture de l’alcool, exposant ainsi leurs membres à une présence continue de l’alcool durant toute leurs vies. C’est aussi une situation qui prédispose les individus à une dépendance à l’alcool.
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– Les facteurs psychiques : certaines pathologies psychologiques peuvent aussi prédisposer à l’abus d’alcool. Il s’agit notamment de la schizophrénie, et de la dépression. L’alcool ayant un effet relaxant sur le corps humain, les personnes en situation de stress, surtout, ont tendance à abuser de temps en temps. Ce qui ne manque pas de causer une dépendance, par effet de récompense.
– Les facteurs sociaux : il est à noter que certains groupes sociaux sont particulièrement sujettes à l’abus d’alcool, il s’agit notamment des plus démunis. Les personnes en situation de solitude ou souffrant d’isolation sociale sont aussi à risque dans le développement de la consommation excessive de l’alcool. Ceci peut aussi être lié au stress que leur mode de vie quotidienne engendre.
– Les effets de l’alcool sur le système nerveux : une grande partie des cas de dépendance à l’alcool est liée aux sensations que la consommation d’alcool procure. L’alcool est un stupéfiant au caractère psychoactif. Il s’agit donc d’une substance qui agit directement sur le cerveau, plus précisément sur le système nerveux central. Le système nerveux central est la zone du système nerveux dont la tâche principale est de réguler les fonctions essentielles de l’organisme, à l’instar de la motricité et du maintien d’équilibre.
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Par ailleurs, c’est aussi la zone du cerveau qui contrôle les perceptions. La vision, le toucher l’audition et l’odorat sont commander via ce centre neuronal. Ceci étant, la consommation d’alcool en influençant cette zone provoque une sensation de relaxation et d’euphorie.
Toujours en quête de cette sensation, l’individu aura tendance à vouloir consommer toujours plus d’alcool pour en avoir accès. D’où les problèmes d’alcoolisme.
Passer un test ou un diagnostic d’alcoolisme
Comme avec tous les types de pathologie neuropsychologique, il existe des tests et des moyens de dépistage et de poser des diagnostics. Par ailleurs, on peut déjà statuer sur une consommation à risque ou problématique, selon certaines études à partir de 15 verres par semaine pour les hommes, et 10 verres par semaine pour les femmes.
1 verre correspondant à 43 ml de spiritueux (40 % d’alcool), 142 ml de vin (12 % d’alcool), 341 ml de bière (5 % d’alcool) et 85 ml de vin fortifié (18 % d’alcool). Ceci étant, ce barème ne suffit généralement pas pour poser un diagnostic. Il faut avoir l’avis d’un médecin praticien qui aura à utiliser un outillage de connaissance qu’il aurait acquis durant sa formation. Les stratégies de détection des problèmes d’addiction sont diverses :
– Incorporation des questions concernant la consommation d’alcool aux questionnaires d’hygiène de vie administré à tous les patients. Cette méthode a l’avantage d’être assez discrète. Elle permet de soutirer des informations au patient sans qu’il n’en soi nécessairement conscient. Il ne ressent donc pas de pression et répond de manière décontracté.
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– Il est aussi possible d’employer les tests de dépistage à question unique.
– Les tests de laboratoire sont aussi un excellent moyen de statuer sur le rapport à l’alcool d’un individu.
Quelques outils de dépistage d’alcoolisme
1 – les questionnaires
Le test de dépistage à question unique : c’est le type de texte le plus utilisé dans les pays comme le Canada et les États-Unis. Il est considéré comme un excellent outil de dépistage de l’alcoolisme et est facile à administrer au patient.
La question est unique pour chacun des sexes et s’articule de la sorte :
– Pour les hommes : « Combien de fois, au cours des douze derniers mois, avez-vous consommé cinq verres ou plus en une journée ? »
– Pour les femmes : « Combien de fois au cours des douze derniers mois avez-vous consommé plus de quatre verres ou plus en une journée ? »
Une seule réponse positive est nécessaire pour demander une évaluation plus poussée de l’état du patient. Cependant, les médecins déterminent généralement des seuils de consommation, qui correspondent chacun à une attitude à adopter vis-à-vis de la situation.
Avec une seule réponse positive (la réponse du candidat est une fois.), on pose le diagnostic d’une consommation à risque avec une sensibilité du texte de pas moins de 80 %.
Pour plusieurs réponses positive (la réponse du candidat est plu d’une fois.) le risque de troubles de l’usage de la drogue est avéré à plus de 67 % et le teste se trouve être sensible, à hauteur de 88 %.
Cependant, le texte de dépistage à question unique est un canal privilégié pour obtenir des faux positifs.
En effet, il peut arriver qu’une personne dont la consommation d’alcool est plutôt responsable, ait un épisode de deux consommations excessives par an, sans toutefois souffrir de troubles liés à la consommation d’alcool. Il est donc préférable, qu’après le diagnostic poser par le test à question unique, le résultat soit corroboré par d’autres types de tests.
L’AUDIT-C : elle est basée sur le même principe que la technique à question unique. Cependant, elle est assez difficile à mémoriser. L’analyse des données se fait à l’aide d’un système de notation assez complexe. Néanmoins, elle a aussi l’avantage de fournir une certaine aisance au candidat, qui ne devrait pas être sous contrainte lors de l’administration du questionnaire.
L’AUDIT-10 : c’est un questionnaire assez long ; beaucoup plus long que celui de l’AUDI-C.
Cependant, il semble être beaucoup plus efficace et plus pertinent que l’AUDI-C. Il repose aussi sur un système de notation dont des seuils indiquent la démarche à suivre par le praticien. Pour un score de 8, on note un excès de consommation d’alcool, et un risque d’endommagement certaines fonctions vitales au niveau de l’organisme.
Il repose aussi sur un système de notation dont des seuils indiquent la démarche à suivre par le praticien. Pourtant, des critiques s’élèvent dans la classe des praticiens, concernant ces méthodes, et leur pertinence dans le traitement des patients. En effet, les femmes de par leur constitution biologique sont généralement moins résistante que les hommes à l’alcool. Placer le seuil de dépistage au même niveau pour les femmes que pour les hommes relèverait donc de l’absurdité.
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2 – les tests de laboratoire.
Les tests de laboratoire sont aussi un moyen privilégié, et redoutablement efficace de se rendre compte de l’état de dépendance d’un sujet à l’alcool. Ils sont généralement basés sur la détection de certaines substances bien spécifique dans le sang. C’est un excellent moyen de se rendre compte des dégâts que la consommation excessive de l’alcool aurait causé sur l’organisme du patient, surtout d’un point de vue hépatique. Avec leur sensibilité plutôt faible, l’usage des analyses de sang est plutôt conseillé pour le suivi des patients ou plutôt pour confirmer un diagnostic déjà établi. Il en existe plusieurs types :
– Le dosage de Gamma-GT dans le sang : les Gamma-glutamyl Transpeptidases ou gamma-GT sont des substances indicatrices des problèmes d’ordre hépatique. Elles sont présentes dans le sang à hauteur d’une sensibilité de 50 % pour une consommation de quatre verres d’alcool ou plus par jour.
Cependant, à cause de son lien direct avec les affections hépatiques, le diabète et l’obésité, il est généralement très difficile de confirmer qu’il s’agit réellement d’une présence dû à une consommation excessive d’alcool.
Néanmoins, les gamma-GT ont généralement une durée de vie assez réduite 2 – les tests de laboratoire.. Il est donc préférable de faire deux tests sur une période de sevrage plus ou moins courte, pour se rassurer de son diagnostic. Car la population de gamma-GT diminuerait considérablement, s’il s’agissait d’un problème lié à l’alcool.
_L’hémogramme : cette technique consiste quant à elle à mesurer le Volume Globulaire Moyen. Le volume Globulaire Moyen ou VGM correspond à la taille moyenne des Globules rouges dans le sang. Cette taille a tendance à s’accroître en cas de problèmes liés à l’alcoolisme.
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Cependant, les résultats sont assez ambigus quand on prend en compte le fait que le VGM peut aussi varier dans le cas certaines formes de pathologie hépatique qui n’ont rien à avoir avec la consommation d’alcool.
La prise de certains médicaments peut aussi considérablement influencer la taille des globules rouges. Cependant, si cette variation de taille est une conséquence d’une consommation excessive d’alcool, les globules reviendront à une taille normale après quelques mois de sevrage (3 mois environs.)
Comment traiter l’addiction et la dépendance à l’alcool ?
Traiter son addiction à l’alcool et reprendre une vie normale sont désormais possibles. Les recherches allant dans ce sens se sont considérablement multipliées ces dernières années. On assiste alors à une pullulation des techniques de traitement. La plupart des méthodes de traitement tiennent de deux familles.
Il s’agit des traitements de type médicamenteux, et les thérapies.
Les traitements médicamenteux
Comme le nom l’indique, ce sont des types de traitements qui font intervenir des médicaments pour venir à bout de la dépendance à l’alcool. Il s’agit généralement des anxiolytiques, mais aussi des carbamates, et des antidépresseurs. Ces médicaments auront pour effet d’inhiber la survenue de craving lors du sevrage, et d’interrompre les phénomènes de manque. C’est aussi un excellent moyen de permettre au candidat sevrage de garder une certaine sérénité vis-à-vis de leur traitement, et de ne pas tomber dans la dépression. Par ailleurs, il existe des médicaments à effet antabuse ; comprenez par là qu’ils permettent de dégoûter le patient de l’alcool lorsque celui-ci en prend. Ces médicaments sont très efficaces surtout pour éviter les rechutes, et d’autres médicaments sans ordonnance qui procure le même effet.
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Les traitements thérapeutiques
Elles sont aussi assez nombreuses et ont généralement pour objectif de permettre au patient d’avoir accès à un état de bien-être profond. Même s’il semble plutôt difficile de pouvoir énumérer tous les types de thérapie utilisé dans le traitement de l’alcoolisme, il est quand même possible d’en faire démarquer quelques-uns.
La psychothérapie : c’est une méthode de traitement complètement axé sur la psychologie du patient. En effet, toutes formes de dépendance tirent sa source de la psychologie du patient. Il est donc important de savoir influencer cette psychologie en question, pour permettre au patient de se débarrasser de son addiction. Cette méthode est pratiquée par un psychothérapeute, un psychanalyste ou un psychiatre, assermenté. L’efficacité de ces méthodes est prouvée depuis quelques années déjà, il existe même des centres spécialisé dans le traitement à partir de ces méthodes en question.
La lithothérapie : c’est un mode de traitement par les pierres. Cette méthode a déjà fait ses preuves dans le traitement de plusieurs pathologies et s’avère être aussi efficace en ce qui concerne la dépendance alcool. Cependant, la communauté scientifique reste tout de même assez sceptique quant à la fiabilité de ce type de traitement. Pour eux la lithotherapie n’a aucune base scientifique. L’effet ressenti par les adeptes de cette science n’est rien d’autre qu’un effet placebo.
Les cures thermales : les cures thermales sont aussi un moyen très recommandé pour venir à bout des pathologies de l’abus d’alcool. Ils permettent entre autres de purifier le corps, par l’administration de l’eau ou des produits dérives d’une source thermale. L’eau des sources thermales étant très riches en celles minéraux, permet de renforcer le corps et le système immunitaire en particulier.
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Cette eau permet aussi entre autres d’éliminer les toxines accumulés pendants la période de consommation anarchique.
le sevrage alcoolique
La période de sevrage alcoolique est la période pendant laquelle le consommateur d’alcool arrête toutes forme de consommation. Cette période est généralement assez difficile à vivre. Elle s’accompagne de quelque malaise dû au syndrome du sevrage.
Le syndrome de sevrage alcoolique est un ensemble de symptômes consécutifs à une baisse drastique de la consommation d’alcool chez les personnes dépendantes. Elle peut être relativement grave quand elle ne fait pas l’objet d’un réel suivi, et peut conduire à la mort de la personne dépendante à la consommation. Il faut noter que ce syndrome traduit une diminution de l’activité des récepteurs GABAA du système nerveux.
On observe alors une hyper activité au niveau du cortex cérébral central. Ce qui ne manque pas de provoquer des hallucinations et des troubles végétatifs.
Les signes les plus courants de la survenue du syndrome du sevrage alcoolique sont l’anxiété, les sauts d’humeur et les tremblements. Les patients peuvent aussi faire de la fièvre et être nauséeux de temps à autre. Chez certaines personnes, on peut aussi constater une tendance à la violence et à l’agitation.
Le syndrome de sevrage ne prend pas réellement du temps avant d’apparaître. Les premiers signes sont observable dans les 6 premiers heures qui suivent la dernière prise d’alcool. Leur intensité s’accroît progressivement durant les 24 à 72 heures qui suivront. Si le suivi est bien opérer, les premiers signes d’amélioration seront observables dès le septième jour.
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Les remèdes naturels contre l’alcoolisme
Comme avec toutes le type de pathologies, l’alcoolisme fait l’objet de beaucoup de recherches autant sur le plan de la médecine moderne que celle de la médecine traditionnel. Cette dernière fournit une panoplie de médicaments supposés pouvoir permettre aux personnes dépendantes à la consommation d’alcool, de venir à bout de leurs dépendances.
La majorité de ces traitements sont d’origine végétale, des feuilles et des racines à boire généralement sous forme de décoction ou de tisane. Même si la médecine moderne est assez prudente vis-à-vis de ces traitements ; surtout en ce qui concerne le manque de traçabilité et d’un système de dosage bien établit, il reste quand même évident que les remèdes naturels sont assez efficace. Ils ont en plus l’avantage de ne pas avoir trop d’effet secondaire.
Il est donc possible de s’en procurer, sous réserve que le praticien soit accrédite par qui de droit. Comme avec toutes le type de pathologies, l’alcoolisme fait l’objet de beaucoup de recherches autant sur le plan de la médecine moderne que celle de la médecine traditionnel. Cette dernière fournit une panoplie de médicaments supposés pouvoir permettre aux personnes dépendantes à la consommation d’alcool, de venir à bout de leurs dépendances. La majorité de ces traitements sont d’origine végétale, des feuilles et des racines à boire généralement sous forme de décoction ou de tisane. Même si la médecine moderne est assez prudente vis-à-vis de ces traitements ; surtout en ce qui concerne le manque de traçabilité et d’un système de dosage bien établit, il reste quand même évident que les remèdes naturels sont assez efficace.
Ils ont en plus l’avantage de ne pas avoir trop d’effet secondaire. Il est donc possible de s’en procurer, sous réserve que le praticien soit accrédite par qui de droit.
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Aller voir un médecin
C’est la première étape vers la guérison, s’il faut le dire ainsi. Il s’agit là de la preuve que le patient a pris conscience du rapport particulier qu’il entretient avec l’alcool. Cependant, il va falloir faire attention. Certaines personnes ont un seuil de tolérance à l’alcool plus ou moins élevé, ce qui leur permet de consommer d’importante quantité d’alcool sans toutefois avoir des troubles du comportement. Il est donc important d’aller voir un spécialiste, dès qu’on sent un changement de comportement vis-à-vis de l’alcool. C’est assez important.
Les questions les plus fréquentes
Les questions les plus fréquentes
Peut-on prendre des médicaments et suivre un programme à l’Oser le Changement ?
Oui, nombreuses sont les personnes dans cette situation. Par exemple qui prenaient du baclofène et qui ont arrêté la prise de médicaments progressivement.
Que propose l’Oser Le Changement ?
Un programme destiné à remonter aux sources de la souffrance pour libérer la personne vers un changement profond et durable.
Comment ?
Par une combinaison de techniques de thérapie brève destinées à lancer des ponts pour communiquer avec le stress et la souffrance des personnes qui prennent de l’alcool jusqu’au K.O. afin de la libérer pour aller vers le changement.
Quelle est la condition nécessaire au changement ?
Ressentir suffisamment de motivation : se dire que ce n’est plus possible, se sentir mal avec ce problème d’alcool même si une autre partie de la personne a très peur de ne pas pouvoir s’en passer. La négociation entre ces deux parties est un des aspects travaillés durant le parcours d’accompagnement proposé par Oser Le Changement.
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